Dernière mise à jour à 08h45 le 22/12
Des personnes de tous les milieux de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) ont réfuté les rumeurs de "travail forcé".
Lors d'une conférence de presse tenue mardi, Rahmutulla Hasan, professeur d'histoire de l'Université du Xinjiang, a déclaré que les personnes de tous les groupes ethniques du Xinjiang choisissaient les emplois selon leur propre volonté. Ils jouissent d'une liberté totale dans le choix de leur lieu de travail.

Un employé travaille dans une usine de coton du district de Manasi, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 17 octobre 2020. (Ding Lei/Xinhua)
Les rumeurs de "travail forcé" sont de purs et simples mensonges, et les forces contre la Chine les ont délibérément inventés comme prétextes à leur ingérence dans les affaires intérieures de la Chine, a ajouté le professeur.
Helati, hôte de la conférence de presse, a indiqué que les politiques et les pratiques en matière de travail et d'emploi au Xinjiang sont conformes à la Constitution chinoise, aux lois de la Chine, ainsi qu'aux normes internationales en matière de travail et de droits de l'homme.
Mamtimin Samar a fondé une coopérative d'élevage dans la préfecture du Kachgar après avoir obtenu son diplôme universitaire.
"J'ai été encouragé et soutenu par le gouvernement lors du lancement de mon entreprise," a-t-il déclaré, ajoutant qu'il avait bénéficié des politiques du gouvernement sur les prêts sans intérêts.
"Aucune rumeur ne peut effacer le fait du développement du Xinjiang", a ajouté Mamtimin Samar.
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