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| Des piétons devant le panneau de la zone pilote de libre-échange à Pudong, Shanghai, le 18 mars 2015. [Photo/IC] |
La Chine a réduit le nombre de restrictions sur les investissements étrangers pour les nouvelles zones pilotes de libre-échange à Tianjin, dans le Guangdong, le Fujian et aussi pour à Shanghai.
Le ministre adjoint du Commerce, Wang Shouwen, a déclaré lundi que ces zones permettront un environnement unifié et plus convivial pour les investissements outre-mer.
Pour accroître la transparence, le gouvernement central a rendu publique une «liste négative» des apports étrangers applicable dans ces quatre zones. Pour la zone de Shanghai, le nombre de produits soumis à restriction a été réduite à 122, contre 139 en 2014.
Un plan directeur a été dévoilé pour les zones de Tianjin, du Guangdong et du Fujian et le plan de développement de la zone de Shanghai a été mis à niveau pour permettre de créer une plate-forme bien plus large pour des réformes économiques et aussi une plus grande ouverture.
Lors d'une conférence de presse, le responsable a expliqué que les trois nouvelles zones avaient reproduit l'expérience réussie de Shanghai.
Le gouvernement central a également appliqué de nouvelles mesures : à savoir un système de conseil administratif, une séparation du pouvoir d'approbation et du pouvoir réglementaire, ainsi qu'une classification de l'approbation des nouvelles zones. Les médias des provinces ont indiqué que la création officielle des trois zones seront annoncées ce mardi.
La zone de Tianjin favorisera le développement intérieur par le biais de méthodes telles que la coopération portuaire coordonnée entre Beijing, Tianjin et le Hebei.
La zone du Guangdong se concentrera sur l'évolution industrielle au niveau du delta de la rivière des Perles et des régions intérieures, pour une transformation et mise à niveau du développement régional.
La zone du Fujian veillera a améliorer la situation économique à l'ouest du détroit de Taiwan, grâce à l'intégration industrielle entre les deux provinces, pour une une nouvelle collaboration entre les deux rives dans le secteur des services.
De son côte, Shanghai ciblera le développement de la zone économique du fleuve Yangtze, une plate-forme d'affaires diversifiée pour le commerce international dans le delta du fleuve Yangtze. Une zone opérationnelle augmentée à 120,72 km carrés couvrant quatre zones spéciales de surveillance au niveau des douanes.
Pour Mei Xinyu, chercheur à l'Institut du commerce international et de coopération économique dépendant du ministère du commerce : par rapport à Shanghai, ces nouvelles zones se focaliseront sur des caractéristiques plus locales.
Sang Baichuan, directeur de l'Institut des affaires internationales à l'Université de commerce international et d'économie de Beijing, a noté qu'une concurrence mènera à l'optimisation de la politique et une avancée dans les infrastructures, afin d'attirer les talents et capitaux étrangers.
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