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Les entreprises étrangères qui ont choisi la Chine ont fait le bon choix

le Quotidien du Peuple en ligne | 07.01.2020 08h55

D'un côté, l'ambassade américaine en Irak a été attaquée, un célèbre général iranien a été tué par des frappes aériennes à Bagdad, et l'indice PMI de l'industrie manufacturière américaine a été inférieur à 50, signe de récession, pendant cinq mois consécutifs. D'un autre côté, Tesla est plein de confiance dans le marché chinois. Il n'a fallu qu'un an entre le début des travaux de sa "super usine", la Megafactory installée à Shanghai, et le début de la production de masse, et sa capacité de production s'est depuis encore considérablement améliorée.

En cette année 2020 qui commence à peine et est déjà marquée par des turbulences économiques, politiques et militaires, mais qui est aussi partiellement pleine de signaux positifs, comment les investisseurs internationaux devraient-ils choisir ? Pour eux, certains calculs ne peuvent être ignorés, pas plus qu'ils ne sont difficiles à faire...

Tout d'abord, la stabilité politique est l'élément principal de tout environnement social. L'auteur a récemment rencontré et interrogé certains cadres supérieurs d'entreprises étrangères, qui ont tous pleinement confiance dans la capacité du gouvernement chinois à maintenir l'ordre social. Comparés aux récents avertissements de sécurité émis par New York, Washington et d'autres villes américaines, tout investisseur rationnel et calme ne pourra que ressentir profondément la valeur et le caractère irremplaçable de l'environnement social stable de la Chine.

Deuxièmement, dans ce monde incertain, il est impossible d'éliminer complètement les risques potentiels. Les gens accordent alors d'autant plus d'attention à la capacité d'un gouvernement à faire face aux risques. Pour ceux qui exploitent des entreprises étrangères en Chine, il ressort des mesures prises par le gouvernement chinois tout au long de l'année dernière que les décideurs chinois étaient pleinement conscients des risques de turbulence dans un environnement international complexe au début de l'année dernière, ou même plus tôt, et qu'ils ont pris des dispositions précoces à cette fin, dans un effort pour se montrer proactifs.

Le 18 décembre 2018, lors de la session du 40e anniversaire de la célébration de la mise en œuvre de la politique de réforme et d'ouverture, le secrétaire général Xi Jinping a souligné devant tout le Parti et toute la nation que chaque étape de la réforme et de l'ouverture n'est pas facile. À l'avenir, ce chemin sera encore confronté à des risques et défis, et même à des vagues inattendues. Le 21 janvier 2019, les principaux cadres aux niveaux provincial et ministériel, adhérant à la pensée de fond, s'efforçant de prévenir et de résoudre les principaux risques, ont débuté un séminaire à l'École centrale du Parti. Le secrétaire général Xi Jinping a proposé de comprendre en profondeur et de saisir avec précision les changements profonds de l'environnement extérieur et les nouvelles situations, les nouveaux problèmes et défis auxquels sont confrontés la réforme, le développement et la stabilité de la Chine.

Rien n'est plus convaincant et parlant que les faits. En repensant à la gouvernance nationale de la Chine, en combinant avec les détails spécifiques de la gestion gouvernementale et du travail d'urgence que les individus ressentent dans leur travail et leur vie quotidienne, et en comparant avec les performances des gouvernements de certains pays développés occidentaux face à la crise des risques, il n'est pas difficile de constater la capacité de vision à long terme des décideurs chinois et la capacité de mise en œuvre du système chinois pour faire face à divers défis liés aux risques.

L'objectif le plus important pour les entreprises et les opérateurs commerciaux, ce sont les opportunités de développement, et la Chine est déjà la deuxième plus grande économie du monde. Selon les statistiques de la base de données du Fonds monétaire international, la Chine et les États-Unis sont les deux seules économies d'une taille de 10 000 milliards de dollars dans l'histoire de l'humanité en termes de classement du PIB nominal basé sur le taux de change du marché. En 2018, le volume économique du Japon, troisième économie en importance, ne représente que 37% de celui de la Chine. Quant aux volumes économiques de l'Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la France, de l'Inde, de l'Italie, du Brésil et du Canada, ils ne sont respectivement que de 30%, 21,1%, 20,7% et 20,3%, 16%, 14% et 13% de ceux de la Chine.

Du point de vue du développement futur, l'avenir de l'économie chinoise sera encore plus grand. La Chine a introduit la loi sur les investissements étrangers, publié une nouvelle liste négative d'accès aux investissements étrangers et continué à réduire ses droits à l'importation. Elle a toujours prouvé par des actions pratiques que la porte de son ouverture ne s'ouvrirait que de plus en plus, et qu'une Chine solide et ouverte apportera certainement plus de dividendes au monde.

Il n'est pas interdit de penser que l'histoire prouvera que, sur le marché mondial, choisir la Chine et grandir avec elle, que ce soit pour les entreprises ou pour les opérateurs commerciaux individuels, est le bon choix.

(L'auteur, Mei Xinyu, est chercheur à l'Institut de recherche du ministère du Commerce)

(Rédacteurs :孙晨晨, Yishuang Liu)
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