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Toute ingérence brutale dans les affaires de Hong Kong sera immanquablement vouée à l'échec

le Quotidien du Peuple en ligne | 16.07.2020 16h49

Malgré les protestations solennelles de la Chine, les États-Unis ont promulgué le 14 juillet le « Hong Kong Autonomy Act ». Le projet de loi américain dénigre délibérément la Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong, menace d'imposer des sanctions à la Chine et viole gravement le droit international et les normes fondamentales des relations internationales. Il s'agit là d'une ingérence flagrante dans les affaires de Hong Kong et les affaires intérieures de la Chine, que la Chine condamne fermement et à laquelle elle s'oppose fermement. Quelle que soit la pression exercée par les forces extérieures, la détermination et la volonté de la Chine de sauvegarder la souveraineté et la sécurité nationales ainsi que la prospérité et la stabilité de Hong Kong ne seront pas ébranlées. La tentative des États-Unis d'empêcher la Chine de faire avancer la mise en œuvre de la Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong ne peut être qu'une tentative vouée à l'échec.

Une cérémonie de lever de drapeau organisée par le gouvernement de la région administrative spéciale de Hong Kong pour célébrer le 23e anniversaire du retour de Hong Kong dans la mère patrie sur la place Golden Bauhinia à Hong Kong (sud de la Chine), le 1er juillet 2020. (Li Gang / Xinhua)

Le soi-disant « Hong Kong Autonomy Act » est tout simplement ni plus ni moins qu'une loi perverse concoctée par certains politiciens américains. Les États-Unis parlent de soi-disant « responsabilité » et « obligation » avec des airs dignes. En fait, les États-Unis piétinent le droit international et les normes fondamentales des relations internationales. Ils ignorent les faits et sont inversent sciemment le noir et le blanc, et sont pleins d'ignorance et de préjugés envers le principe « Un pays, deux systèmes ». Les « droits » et la « liberté » qu'ils soulignent ne sont que leur « droit » d'étendre une fois de plus leur « main noire » sur Hong Kong pour contenir et entraver le développement de la Chine, et leur « liberté » revient seulement à piétiner les normes de le droit international et à s'immiscer gravement dans les affaires intérieures de la Chine. Après la promulgation et la mise en œuvre de la Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong, les États-Unis ont persisté dans la discussion et la signature de leur soi-disant « Hong Kong Autonomy Act », exposant pleinement leur comportement hégémonique et leur hideux visage face au sujet de Hong Kong.

La base juridique de la gouvernance par le gouvernement chinois de la région administrative spéciale de Hong Kong est la Constitution de la République populaire de Chine et la Loi fondamentale de Hong Kong, et non la «Déclaration conjointe sino-britannique ». La « Déclaration conjointe sino-britannique » est au cœur de la restauration de la souveraineté de la Chine sur Hong Kong. Après le retour de Hong Kong au sein de la mère patrie, le gouvernement chinois a annoncé dans la « Déclaration conjointe sino-britannique » que tous les principes et politiques à l'égard de Hong Kong avaient été incorporés dans la Loi fondamentale de Hong Kong, qui a été pleinement et effectivement mise en œuvre. Il n'y a aucun problème de violation par la Chine des « obligations internationales ». Les États-Unis ont eux ouvertement concocté leur soi-disant « Hong Kong Autonomy Act » et réclamé des sanctions contre la Chine, ce qui est typique de leur pensée hégémonique et d'une logique de gangster.

Le principe « Un pays, deux systèmes » est la politique nationale de base de la Chine. Personne ne connaît mieux le principe « Un pays, deux systèmes » que la Chine, et personne ne chérit plus le principe « Un pays, deux systèmes » que la Chine. Depuis la « tempête anti-révision » de juin de l'année dernière, les crimes violents radicaux à Hong Kong ont sérieusement remis en question les fondements même du le principe « Un pays, deux systèmes ». La formulation et la mise en œuvre par la Chine de la Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong offrent un système solide et une garantie juridique qui assurent la stabilité du principe «Un pays, deux systèmes» et constituent une mesure majeure dans la pratique dudit principe. La Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong est une « bonne loi » qui régit Hong Kong et entraînera certainement une « bonne gouvernance » dans le territoire. Sur la base de leur ignorance et de préjugés profondément enracinés contre le principe « Un pays, deux systèmes » et sa pratique, les États-Unis ont concocté leur soi-disant « Hong Kong Autonomy Act » et tenté d'empêcher la Chine d'avancer dans la mise en œuvre de la de cette « bonne loi » pour la gouvernance de Hong Kong avec une loi perverse, ce qui viole gravement la justice et l'équité internationales.

Dans leur soi-disant « Hong Kong Autonomy Act », les États-Unis proclament avec arrogance les mots « droits » et « liberté », révélant une hypocrisie totale. Des crimes violents radicaux à Hong Kong ont gravement porté atteinte à la vie et à la sécurité des biens des résidents de Hong Kong, bien au-delà des limites et de la portée de l'exercice légal de la liberté et des droits personnels, mais certains politiciens américains les qualifient de « beau paysage » et soutiennent ouvertement les éléments anti-chinois. La Chine, elle, encourage la mise en œuvre de la Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong, qui ne réprime qu'un très petit nombre d'activités illégales et criminelles mettant en danger la sécurité nationale conformément à la loi, et protège la sécurité de la grande majorité des résidents de Hong Kong et leurs droits et libertés reconnus par la loi. En revanche, les États-Unis parlent de « droits » et de « liberté » avec des intentions extrêmement sinistres ! Il y a quelques jours, plus de 70 pays ont pris la parole au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies pour soutenir la Loi sur la sécurité nationale dans la région administrative spéciale de Hong Kong et s'opposer à toute ingérence dans les affaires intérieures de la Chine sous le couvert de « droits de l'homme » ; les jeunes représentants de la Région administrative spéciale de Hong Kong en Chine ont lancé un appel au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, disant « Nous ne pouvons plus supporter de voir Hong Kong emporté par la violence », « Ecartons les mains noires des forces anti-Chine loin de notre patrie ». La voix du peuple de Hong Kong et la voix de la justice de la communauté internationale sont une dénonciation solennelle des mauvaises actions des États-Unis.

Le gouvernement chinois protège sans réserve la souveraineté nationale, la sécurité et les intérêts du développement, met en œuvre sans réserve la politique « Un pays, deux systèmes » et s'oppose fermement à toute force extérieure qui interfère dans les affaires de Hong Kong. La pratique finira par prouver que la Loi sur la sécurité nationale à Hong Kong fournira sûrement une solide garantie institutionnelle pour maintenir la prospérité et la stabilité à long terme de Hong Kong. La Chine exhorte les États-Unis à reconnaître clairement la situation, à respecter les lois internationales et les principes fondamentaux des relations internationales, et à cesser de s'ingérer dans les affaires de Hong Kong et les affaires intérieures de la Chine de quelque manière que ce soit. La Chine protège fermement ses droits et intérêts légitimes et s'opposera résolument et énergiquement aux mauvaises actions des États-Unis, qui devront assumer toutes les conséquences qui en découleront.

Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère

(Rédacteurs :孙晨晨, Yishuang Liu)
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