Dernière mise à jour à 16h17 le 10/06
Récemment, les États-Unis ont remis sur le tapis le traçage du COVID-19 en publiant des rapports fortement médiatisés, en mettant en avant de soi-disant experts individuels unis comme un seul homme, et tenant bien haut la « bannière des droits de l'homme », jouant la comédie du « Je suis tout blanc et les autres sont des monstres ».
Dès le début de l'épidémie, les politiciens américains ont calomnié la Chine avec la question de la traçabilité des virus, encouragé leur peuple et leurs alliés à réclamer une compensation à la Chine et accusé l'Organisation mondiale de la santé de favoriser la Chine. L'administration Trump, tout en affrontant le monde extérieur, n'a pas oublié ses conflits internes, attaquant l'administration Obama qu'elle a accusé d'avoir laissé un « système médical fragile » et un « système de détection des virus problématique », critiquant les gouvernement des États pour leur dépendance excessive à l'égard du gouvernement fédéral ; on a également vu le gouvernement fédéral et les gouvernements des États s'affronter autour de questions telles que le moment de déclencher l'état d'urgence, le moment de redémarrer l'économie, qui détient le pouvoir et l'autorité, etc., les États se battant les uns contre les autres et allant même jusqu'à piller des fournitures.
Récemment, le site Internet de revue d'actualités VOX a reflété dans son article « Les États-Unis ont encore besoin d'apprendre des plus grandes erreurs de l'épidémie » combien l'épidémie est trop politisée et divise socialement le pays. Plus important encore, l'individualisme est si répandu qu'il est difficile de travailler en équipe. Jennifer Keites, responsable de la politique mondiale de santé et du sida à la Caesars Family Foundation, a souligné : « C'est un problème qui existait aux États-Unis avant et pendant l'épidémie. Je ne sais pas si cela changera après l'épidémie ».
En revanche, face au même « grand test » de l'épidémie, le gouvernement chinois considère toujours la prévention et le contrôle du virus comme la priorité absolue, insiste pour mettre la vie en premier et les gens d'abord, et contrôler efficacement l'épidémie.
Il n'est pas difficile de voir que la Chine a été la première à sortir de l'ombre de l'épidémie et à retrouver une croissance économique positive. Ce n'est pas un hasard. Les États-Unis sont eux profondément embourbés dans le bourbier, et ce n'est pas un hasard non plus si tant le nombre de cas confirmés que le nombre de décès dans le pays sont classés « premiers au monde ».
La bienveillance de la Chine ne se reflète pas seulement dans la lutte nationale contre l'épidémie. En soutenant la communauté internationale pour prévenir et contrôler l'épidémie, la Chine a également fait preuve de moralité au niveau international.
Au début de l'épidémie, la Chine a adhéré au concept d'une communauté de destin pour l'humanité, a publié des informations clés telles que la séquence génétique du COVID-19 et a rapidement annoncé un plan de diagnostic et de traitement et un plan de prévention et de contrôle. Dans les circonstances difficiles de ses propres tâches de prévention et de contrôle de l'épidémie, elle a lancé la plus grande opération humanitaire mondiale depuis la fondation de la Chine nouvelle, fourni une assistance anti-épidémique à plus de 150 pays et 10 organisations internationales, et envoyé 36 groupes d'experts médicaux dans 34 pays dans le besoin.
Cependant, le pays qui scande les « valeurs universelles », qui critique fréquemment la situation des droits de l'homme d'autres pays, et utilise fréquemment les « droits de l'homme » comme prétexte pour attaquer la Chine, n'arrive même pas à garantir à son propre peuple le droit humain le plus fondamental et le plus important, le droit à la vie. Alors que les États-Unis se livraient à leurs manœuvres sous le couvert des droits de l'homme, l'épidémie a fait près de 600 000 morts dans le pays. Selon le système de statistiques en temps réel pour les nouvelles données mondiales sur le COVID-19 publié par l'Université Johns Hopkins aux États-Unis, à la date du 6 juin, les États-Unis, un pays avec une population qui représente seulement 4,25% de la population mondiale totale, comptent près de 19,3% du nombre de cas de COVID-19 enregistrés dans le monde et près de 16% du nombre de décès dus au virus dans le monde.
« Quel est le plus grand des droits de l'homme ? La vie humaine est le droit de l'homme le plus important. Nous avons sauvé tant de vies. C'est notre plus grande manifestation des droits de l'homme ». Ces mots de Zhong Nanshan, membre de l'Académie chinoise d'ingénierie, expriment le vrai sens des droits de l'homme. .
D'une part, les politiciens américains continuent d'attaquer la Chine sur la question de la traçabilité du virus dans le but de détourner l'attention de l'opinion publique internationale et de semer la confusion dans le public. D'un autre côté, en termes d'approvisionnement en vaccins, les États-Unis ne profèrent pour l'essentiel que des paroles creuses, et la communauté internationale a une fois de plus vu le « porte-drapeau » des droits de l'homme mépriser ces mêmes droits.
De nombreux pays en développement s'inquiètent du manque de vaccins, mais dans le même temps, les États-Unis accumulent de grandes quantités de vaccins. Selon un article du journal américain Washington Post, le nombre total de vaccins anti-COVID-19 aux États-Unis est suffisant pour vacciner 750 millions de personnes, alors que la population adulte américaine actuelle est d'environ 260 millions. Les États-Unis non seulement accumulent un grand nombre de vaccins, mais limitent également l'exportation de matières premières de vaccins et ont émis à plusieurs reprises des « chèques en blanc » pour le partage des vaccins.
Jusqu'à présent, les États-Unis n'ont fourni au total que 4,5 millions de doses de vaccin au Mexique et au Canada voisins. Toutefois, sous la pression de l'opinion publique internationale, le président américain Joe Biden a annoncé le 3 juin qu'il ferait don de 25 millions de doses de vaccins excédentaires à d'autres pays dans le cadre du « Plan de mise en œuvre de la vaccination contre le COVID-19 » dirigé par l'Organisation mondiale de la santé. En réponse à cette décision, de nombreuses parties ont déclaré qu'elles « espéraient que les États-Unis pourraient donner plus » car le montant des dons américains peut être décrit comme « une goutte dans l'océan » par rapport aux besoins réels.
Dans le même temps, l'aide vaccinale de la Chine à l'étranger continue d'avancer. Malgré son énorme population et son approvisionnement restreint en vaccins, la Chine a déjà fourni plus de 350 millions de doses de vaccins à la communauté internationale, y compris une assistance vaccinale à plus de 80 pays et des exportations de vaccins vers plus de 40 pays. Elle a également fourni des vaccins à plus de 40 pays en développement, mis en place une production coopérative et a rapidement favorisé la production de masse de vaccins.
Cette fois, les États-Unis ont de nouveau pointé du doigt la Chine sur la traçabilité du virus, ont complètement nié les résultats de la précédente enquête de l'OMS et ont continué à s'agiter dans un tourbillon politique. Michael Ryan, l'expert en chef de l'OMS sur les affaires d'urgence, a déclaré à contrecœur que les efforts pour retrouver la source du virus « ont été empoisonnés par la politique ». Marianne Koopmans, experte en traçabilité des virus de l'OMS et virologue néerlandaise, a pour sa part rétorqué que s'il existe des preuves réelles, alors les États-Unis ont la responsabilité de les partager.
L'épidémie est comme un miroir. La communauté internationale ne voit pas seulement le vrai sens et la pratique des droits de l'homme en Chine, mais aussi les manœuvres auxquelles se livrent les politiciens américains dans leurs propres intérêts politiques. Chacun a pu voir la Chine défendre le concept d'une communauté de destin pour l'humanité et tendre la main pour lutter contre l'épidémie en tant que grand pays, et tout le monde a dans le même temps pu voir clairement les attaques et l'hypocrisie des politiciens américains.
Par Yi Li