Flash :

Accord américain-russe sur la Syrie : tout juste la première étape pour désamorcer la crise des armes chimiques (Commentaire) Ban Ki-moon reçoit le rapport d'enquête sur les armes chimiques syriennes (porte-parole) Chine : 850.000 personnes passeront l'examen national de qualification à la comptabilité informatique de niveau élémentaire Chine : 436.000 personnes participent cette année à l'examen national de droit Etats-Unis : Summers retire sa candidature à la présidence de la Fed La plupart des Grecs se méfient des politiciens et des institutionsnationales du pays et européennes La France, les USA et la Grande-Bretagne discuteront d'un texte de résolution portée à l'ONU sur la crise syrienne (Fabius) Manifestations contre l'élection au Cambodge : la police fait l'usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau Beijing : la ligne de métro numéro 4 suspend ses opérations en raison de la défaillance du signal Chine : quatre morts après la chute d'un minibus dans une vallée au Guangxi Huit morts dans un accident de la route dans le sud-ouest de la Chine Chine : cinq morts dans l'effondrement d'un atelier Chine : cinq morts et deux blessés dans un accident de la route dans l'Anhui Chine : cinq morts dans l'explosion d'une usine de produits chimiques au nord-est L'accord sur la Syrie représente une "leçon" pour une possible résolution diplomatique de l'impasse nucléaire iranienne (Obama) Obama salue l'accord américano-russe sur les armes chimiques syriennes L'UE se félicite d'un compromis Moscou-Washington sur l'arsenal chimique syrien Ban Ki-moon salue l'accord Russie-USA sur les armes chimiques syriennes L'adhésion de la Syrie à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques prendra effet le 14 octobre L'opposition syrienne en exil élit un Premier ministre intérimaire

Beijing  nuageux~Pluie  25℃~19℃  City Forecast
Français>>International

Accord américain-russe sur la Syrie : tout juste la première étape pour désamorcer la crise des armes chimiques (Commentaire)

( Xinhua )

16.09.2013 à 09h43

Avec l'accord conclu entre Washington et Moscou sur un échéancier initial de destruction ou de déplacement des armes chimiques de Syrie, les efforts visant à désamorcer la crise des armes chimiques ont été ramenés dans le droit chemin.

L'accord, conclu samedi par le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov après de longues discussions à Genève, a également ravivé l'espoir d'une solution politique ultime à la question des armes chimiques en Syrie.

L'accord américain-russe stipule "une liste complète" des armes chimiques de Syrie, une inspection internationale d'ici novembre et, surtout, la destruction ou le déplacement des armes chimiques d'ici la mi-2014.

La percée diplomatique a réduit la probabilité d'une action militaire américaine dans l'immédiat, et l'inspection de l'ONU proposée, si menée de manière harmonieuse et conclue par des résultats largement reconnus, aura une influence positive à long terme qui s'étend bien au-delà du Moyen-Orient.

Cependant, des nuages d'incertitude enveloppent l'affaire. Et des inquiétudes concernant le processus imminent de mise en oeuvre persistent. L'accord américain-russe, comme l'a dit M. Lavrov, n'était que "le début", alors qu'aux dires de de M. Kerry, la mise en oeuvre de l'accord constitue "un chemin difficile à parcourir".

D'une part, bien que l'accord ne prévoit pas d'options militaires, il n'exclut pas la possibilité d'une intervention militaire. D'autre part, la situation volatile en Syrie pourrait encore entraver, voire stopper la mise en oeuvre de l'accord.

En d'autres termes, la crise syrienne à deux facettes, une guerre civile en cours et la menace d'une intervention militaire étrangère, laisse présager une route cahoteuse dans la mise en oeuvre de l'accord.

En Syrie, il y a peu de signes que les choses changent pour le mieux. L'opposition en exil et son aile armée ont rejeté l'accord américain-russe et se sont déclarés déterminés à lutter contre les troupes gouvernementales.

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a décrit la crise syrienne comme le plus grand défi humanitaire à la paix et à la sécurité mondiales à l'heure actuelle, et plusieurs pays semblent convenir que toute intervention étrangère unilatérale, quel qu'en soit le prétexte ou la méthode utilisée, ne fera qu'aggraver la crise.

L'accord américain-russe est un bon début, et la communauté internationale doit aider à garder cette bonne dynamique et aider l'ONU à faciliter un règlement politique pour faire disparaître l'épée de Damoclès qui menace le peuple syrien.

Articles recommandés:

Des images de la Samsung Galaxy Gear dévoilées ?

Rétrospective des portables Nokia

Un cousin du piranha pêché dans la Seine

Traversée de la Manche en ballon électrique

Kate Upton en couverture de Vanity Fair

Un diamant de 118 carats exposé aux Etats-Unis

Armadillo-T : le nouveau véhicule sud-coréen qui se replie comme un tautou

Affaire Martin : l'épouse de George Zimmerman demande le divorce

Les premiers rats policiers entraînés à découvrir les suspects aux Pays-Bas

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales