Dernière mise à jour à 08h13 le 21/03
Un juge de la Cour suprême du Brésil a suspendu vendredi la nomination de l'ancien président Luiz Inacio Lula da Silva au gouvernement et a renvoyé le cas de corruption pesant contre lui à la cour pénale.
L'injonction préliminaire tient jusqu'à ce qu'une assemblée plénière puisse juger de la légalité de la décision de la présidente Dilma Rousseff de nommer M. Lula, son prédécesseur et mentor, en tant que chef de cabinet. Cette décision rendue par le juge Gilmar Mendes devrait attiser les tensions dans le paysage politique volatile du pays, qui a été le témoin de vagues de manifestations pro et anti-gouvernement.
L'ancien président est empêtré dans une enquête de corruption, mais il nie toute implication. S'il devenait ministre du cabinet, il bénéficierait alors d'une immunité et ne pourrait être poursuivi en cour pénale, ne pouvant être uniquement jugé que face à la Cour suprême.
Renvoyant le cas de corruption pesant contre M. Lula au juge Sergio Moro, qui dirige l'enquête controversée contre l'entreprise pétrolière étatique Petrobras, M. Mendes a indiqué que le fait que M. Lula ait été nommé l'a retiré de la juridiction du juge Moro, ce qui "pourrait représenter un acte de fraude contre la constitution".
Le gouvernement brésilien pourra faire appel de cette décision.
La Chine compte plus de milliardaires que les États-Unis
Une fillette de sept ans s'occupe de ses grands-parents malades dans un petit village isolé
Gros porteur chinois : le C919 quitte la ligne d'assemblage
Le premier avion électrique chinois prêt pour le décollage
Les entreprises ont versé 1 150 milliards de Dollars de dividendes au niveau mondial en 2015
Le quotidien des enfants en Syrie
Exercices en Mer de Chine du Sud pour la marine chinoise
Les cinq chars d'assaut les plus chers du monde
Le premier avion électrique chinois prêt pour le décollage
Un exceptionnel diamant bleu mis en vente chez Sotheby
Alibaba se lance dans le secteur de la réalité virtuelle
Chine : 20 millions de moustiques libérés pour combattre des maladies
Les dirigeants chinois sont aussi « présentateurs » et « vendeurs »