Dernière mise à jour à 11h24 le 16/04
Le gouvernement allemand a décidé de permettre aux autorités allemandes de lancer une enquête criminelle sur un satiriste de la télévision au sujet d'un poème insultant, a annoncé vendredi la chancelière allemande Angela Merkel.
Lors d'une conférence de presse à Berlin, Mme Merkel a indiqué que les opinions ont divergé au sein de la coalition au pouvoir pendant les discussions sur le fait d'accorder ou non une autorisation pour ouvrir une enquête.
"Accorder la permission (...) ne signifie pas un avant-jugement de la personne concernée ou une décision anticipée sur les frontières de la liberté de l'art, de la presse ou de l'expression", a-t-elle souligné, ajoutant que non pas le gouvernement allemand, mais le judiciaire aura le dernier mot dans cette affaire.
Dans un programme télévisé, Jan Böhmermann, qui travaille pour la chaîne allemande ZDF, a lu un "Poème Calamonieux" contre le président turc Recep Tayyip Erdogan, ce qui a été critiqué et considéré comme une grave insulte par la partie turque.
M. Erdogan a lui-même officiellement porté plainte contre le satiriste, profitant ainsi pleinement de la clause légale allemande qui pénalise les insultes faites à l'encontre des chefs d'Etat étrangers.
La Chine compte plus de milliardaires que les États-Unis
Une fillette de sept ans s'occupe de ses grands-parents malades dans un petit village isolé
Gros porteur chinois : le C919 quitte la ligne d'assemblage
Le premier avion électrique chinois prêt pour le décollage
Les entreprises ont versé 1 150 milliards de Dollars de dividendes au niveau mondial en 2015
Le quotidien des enfants en Syrie
Exercices en Mer de Chine du Sud pour la marine chinoise
Les cinq chars d'assaut les plus chers du monde
Intel intensifie sa campagne de promotion des caméras 3-D en Chine
Protection du patrimoine culturel, une priorité pour la Chine
La Chine va constituer sa première équipe d'aviation en Antarctique
Alibaba se lance dans le secteur de la réalité virtuelle
Chine : 20 millions de moustiques libérés pour combattre des maladies
Les dirigeants chinois sont aussi « présentateurs » et « vendeurs »