Dernière mise à jour à 08h59 le 29/01
De nouvelles découvertes de chercheurs norvégiens montrent que la COVID-19 pourrait être arrivée en Europe un mois plus tôt qu'estimé jusqu'à présent, a rapporté mercredi l'agence de presse russe Spoutnik.
Des chercheurs de l'hôpital universitaire d'Akershus ont trouvé des anticorps contre la COVID-19 dans des échantillons de sang datant de décembre 2019. Les anticorps ont été détectés dans 98 des 6.520 échantillons analysés.
Les chercheurs ont décrit les résultats comme valides mais très surprenants, notant que "la découverte change l'histoire de l'épidémie de coronavirus".
Par ailleurs, le rapport a examiné plusieurs autres cas, à savoir une étude italienne faite à Milan selon laquelle le nouveau coronavirus était présent en Italie en 2019, et une étude américaine avec des résultats similaires.
L'étude de la faculté de médecine de l'Université de Californie à San Diego a conclu que le virus de la COVID-19 "circulait probablement sans être détecté" deux mois avant décembre 2019.
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