Dernière mise à jour à 13h41 le 01/09
Les grands voyageurs ont toujours été jalousés de tous. Cependant, ce mode de vie est relativement risqué, selon les chercheurs des universités de Surrey en Grande-Bretagne et Linnaeus en Suède. Ces derniers viennent de publier une étude sur «le côté sombre de l'hyper mobilité», selon laquelle les personnes qui parcourent plusieurs dizaines de milliers de km par an subissent trois effets très mauvais pour la santé.
Le premier effet est physique, comme il est dû en partie au décalage horaire qui trouble l'organisme. Faire plus de 135.000 km chaque année, c'est dépasser la limite d'exposition du corps aux radiations d'altitude, ce qui peut entrainer un vieillissement accéléré et une augmentation des risques de maladies cardio-vasculaires.
Les deux autres effets sont psychologiques et émotionnels. L'instabilité liée au déplacement constant est source de pression et d'un sentiment de solitude. Au niveau social, cela se traduit par une déstabilisation de la vie familliale et sociale qui a de lourdes conséquences psychologiques. La plupart des grands voyageurs sont plus fragiles aux troubles et tout ce qu'ils entraînent.
Ce malaise est généralement senti par une petite minorité, qui sont en général des élites. En France, 5% de la population concentre 50% de la distance voyagée par toute la population.
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