Dernière mise à jour à 15h36 le 16/10
Certains politiciens américains sont connus depuis longtemps pour leur position « fortement régressive » sur les questions climatiques et environnementales. Ironiquement, pour calomnier et discréditer la Chine, ils ont joué de manière absurde la « carte du climat et de l'environnement ». Pour ce faire, ils ont d'abord ignoré les faits sur la plate-forme des Nations Unies et ont calomnié les efforts de la Chine dans le domaine de la protection de l'environnement atmosphérique et marin, puis ils ont fabriqué une soi-disant « liste de faits sur la destruction de l'environnement par la Chine » et dénigré la Chine sans raison. La communauté internationale s'est quant à elle gaussée de ce mauvais spectacle consistant à vouloir faire passer le noir pour du blanc et à tisser des mensonges.
Au contraire, la communauté internationale reconnaît que la Chine est un acteur actif et un contributeur important à la réponse mondiale au changement climatique. La Chine a « apporté une contribution historique et exceptionnelle » à la conclusion de l'Accord de Paris sur le changement climatique et a pris la tête de la signature et a activement mis en œuvre ledit accord. À la fin de 2019, les émissions de dioxyde de carbone de la Chine par unité de PIB avaient diminué de 48,1% par rapport à 2005, dépassant l'objectif d'une réduction de 40% à 45% en 2020 ; les énergies non fossiles de la Chine représentaient 15,3% de sa consommation d'énergie par rapport à 2005. soit une augmentation de 7,9 points de pourcentage, un chiffre qui de plus dépasse l'objectif promis envers l'étranger de passer à environ 15% en 2020 ; la superficie forestière et le volume du stock forestier de la Chine en 2018 ont augmenté de 45,09 millions d'hectares et 5,104 milliards de mètres cubes respectivement par rapport à 2005, faisant d'elle le pays à la plus forte croissance des ressources forestières dans le monde au cours de la même période ; la Chine atteindra globalement un niveau zéro importation de déchets solides d'ici la fin de 2020, et le taux de traitement inoffensif des déchets urbains à travers le pays sera proche de 99%. Enfin, toutes les villes côtières ont mis en place des mécanismes de classification des déchets et d'« assainissement de la mer »... La Chine respecte ses engagements et s'engage avec détermination sur la route d'un développement vert et sobre en carbone, et travaille tous les pays pour construire un monde propre et beau avec des actions pratiques.
La Chine est un grand pays responsable qui encourage fermement la construction d'une civilisation écologique, chérit les eaux vertes et les montagnes, et prend soin de la terre. La Chine a récemment annoncé qu'elle augmenterait ses contributions déterminées au niveau national, adopterait des politiques et des mesures plus puissantes, s'efforcerait d'atteindre son pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici 2030 et s'efforcerait d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Cet engagement ferme incarne en outre la responsabilité de la Chine en tant que puissance majeure et a reçu une large attention et un accueil chaleureux de la communauté internationale. L'Agence France-Presse a cité des experts qui ont souligné que l'annonce de son engagement par la Chine est un moment décisif qui relancera les ambitions mondiales en matière d'action climatique ; le ministère allemand de l'Environnement estime que l'annonce par la Chine de la neutralité carbone d'ici 2060 incitera davantage de pays à rejoindre les rangs de la protection de l'environnement. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a pour sa part déclaré qu'elle se félicitait du plan de réduction des émissions de la Chine annoncé aux Nations Unies et de ses efforts pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2060, et estime que cela est une étape importante pour la réponse mondiale au changement climatique dans le cadre de l'Accord de Paris.
Les États-Unis sont le pays qui émet le plus de gaz à effet de serre au monde, avec des émissions cumulées environ trois fois supérieures à celles de la Chine et des émissions de carbone par habitant trois fois plus élevées que la moyenne mondiale et plus du double de celles de la Chine. En termes de climat mondial et de gouvernance environnementale, les États-Unis auraient dû assumer davantage de responsabilités. Cependant, ils n'ont pas d'abord ratifié le « Protocole de Kyoto », puis se sont retirés de l'« Accord de Paris », ont nié leurs propres tâches contraignantes de réduction quantitative des émissions et ignoré leurs propres obligations de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui sont devenues une pierre d'achoppement dans le processus de gouvernance mondiale du climat. En tant que premier exportateur mondial de déchets solides et grand consommateur de plastique par habitant, les États-Unis n'ont non seulement pas ratifié la Convention de Bâle, mais ont de plus mis en place des obstacles au processus mondial de gestion des déchets plastiques et transféré une grande quantité de déchets vers les pays en développement, causant de graves dommages à l'environnement mondial. Pire encore, le gouvernement américain a assoupli à plusieurs reprises les lois et réglementations nationales sur la pollution de l'air. Selon le New York Times, le gouvernement américain actuel a ainsi affaibli l'application de plus de 100 réglementations environnementales. Le journal britannique « The Guardian » a de son côté souligné que certains hommes politiques américains ont fait reculer le monde dans la résolution de la crise concernant la survie de la planète. Les faits ont prouvé que les États-Unis sont le plus grand destructeur de la coopération environnementale internationale et la plus grande menace pour l'environnement mondial. Les États-Unis accusent la Chine sur les questions climatiques et environnementales, se ridiculisant aux yeux du monde entier.
Avec leurs petites manœuvres intelligentes, certains politiciens américains essaient de tromper le monde, mais en agissant ainsi, ils ne récoltent que des moqueries dans le monde entier. Sur la question du climat et de l'environnement, qui progresse, qui recule, qui apporte sa contribution, qui cause des problèmes, les citoyens de tous les pays savent au plus profond d'eux-mêmes la vérité. Certains politiciens américains seraient bien avisés d'arrêter les manipulations politiques et les calomnies malveillantes. La « liste des mensonges » que les médias et les internautes américains leur ont donnée est suffisamment longue. La soi-disant « liste des dommages environnementaux » que ces politiciens ont dressée pour attaquer la Chine ne peut être ajoutée qu'à cette « liste de mensonges ».