Le Nigeria a besoin de centres de réadaptation pour les toxicomanes, estime l'Agence nationale anti-drogue (NDLEA).
Dans une déclaration publiée dimanche, la NDLEA a rappelé qu'elle n'avait pas pu mettre en place de tels centres malgré son existence de 23 ans, soulignant que l'arrestation des personnes qui fument du chanvre dans la rue n'est pas une solutoin sans des centres de réadaptation.
"Nous avons besoin d'un centre de réadaptation de classe mondiale pouvant accueillir 300 victimes, où nous les formons sur l'acquisition de compétences, au moins pour six mois", a indiqué le porte-parole de la NDLEA, Michelle Ofoyeju, dans la déclaration.
Il a affirmé que la plupart des toxicomanes sont des chômeurs qui ont besoin de réadaptation.
Selon lui, fumer du chanvre est devenu un grand problème au Nigeria parce que la drogue est produite en quantité commerciale.