Dernière mise à jour à 10h41 le 13/11
Les entreprises sud-africaines qui ont participé à l'Exposition internationale des importations de la Chine (CIIE), qui s'est achevée samedi, ont affirmé avoir découvert de nombreuses opportunités d'affaires en Chine.
Au total, 27 entreprises sud-africaines ont pris part à la première édition de la CIIE, qui s'est tenue du 5 au 10 novembre à Shanghai.
Mark Taylor, chargé de développement commercial au sein de la compagnie DesSoft, a déclaré que participer à la CIIE avait offert à son entreprise une plateforme très utile pour rencontrer et échanger avec d'autres partenaires.
"Nous avons obtenu plusieurs importantes opportunités de nous développer en Chine. Nous avons eu des pistes intéressantes - des grandes organisations chinoises qui ont dit qu'elles voulaient travailler avec nous. Nous sommes vraiment impatients de voir comment nous allons pouvoir renforcer notre présence sur ce marché", a-t-il indiqué.
La CIIE a offert à son entreprise des opportunités intéressantes aussi bien en Chine qu'à l'étranger, a-t-il dit, ajoutant que cette exposition a été la meilleure de toutes celles auxquelles il ait jamais participé.
La compagnie Little Slipper, spécialisée dans les chaussures, a également entrevu de nombreuses opportunités en Chine. Kate Horne, PDG de Little Slipper, a indiqué que son entreprise allait essayer de donner suite à certaines des opportunités qui se sont présentées à elle pendant cette exposition.
"Nous avons chaque jour été très enthousiasmés par les contacts noués pendant la journée. Il y a eu un flux constant de gens intéressés par nos produits, qui sont vraiment uniques et différents des autres", a-t-elle déclaré.
Mme Horne a expliqué avoir notamment été approchée par des sites de vente en ligne, des maisons de commerce et des responsables gouvernementaux. Son séjour en Chine lui a appris beaucoup de choses, a-t-elle déclaré.
Seponono Kekana, PDG de la compagnie Pioneer of Durability Engineering, a quant à elle indiqué que la CIIE lui avait permis de rencontrer des clients potentiels en Chine comme en Afrique, et qu'elle s'était entretenu aussi bien avec des Chinois qu'avec des Kényans, des Nigérians et des Ghanéens. Elle a indiqué que son entreprise était impatiente de travailler avec des entreprises chinoises sur des chantiers d'infrastructures en Afrique.