Dernière mise à jour à 16h07 le 20/11
La douane néo-zélandaise vient d'annoncer l'intégration de la Chine dans son système de contrôle électronique des passeports SmartGate, ce qui facilitera le passage à la frontière pour les citoyens chinois, a rapporté chinaqw.com.
Véritable solution automatisée pour le contrôle des passeports, ce système utilise la technologie de reconnaissance faciale pour comparer les données sur la puce du passeport électronique à la photographie qu'il prend à la porte. L'ensemble du processus prenant à peine dix secondes.
Le ministre des douanes néo-zélandais Meka Whaitiri (à gauche) et Qu Guangzhou, chargé d'affaires de l'ambassade de Chine présent à la cérémonie officielle du lancement de SmartGate à l'aéroport international d'Auckland, le 17 novembre 2017.
Avec le nombre croissant ces dernières années de touristes ou étudiants chinois en Nouvelle-Zélande, l'introduction du système SmartGate apportera une plus grande commodité pour les voyageurs.
Auparavant, la SmartGate n'était réservée qu'aux Kiwis, Australiens, Américains, Britanniques et Canadiens.
"La Chine est la deuxième plus grand marché touristique pour la Nouvelle-Zélande, et les Chinois ont dépensé dans le pays plus de 2,3 milliards de dollars en 2016", a indiqué Meka Whaitiri, le ministre des Douanes de Nouvelle-Zélande.
La Chine constitue également la plus grande ressource d'étudiants étrangers de la nation. Plus de 70 % des détenteurs d'un passeport possédant une puce électroniques ont utilisé le système. Cependant, les enfants de moins de 12 ans ne sont pas éligibles.
Au moins 24 millions de personnes ont choisi d'expérimenter l'opération SmartGate lancée en 2009, accessible dans les aéroports d'Auckland, de Wellington, de Christchurch et de Queenstown.
Le ministre des douanes néo-zélandais Meka Whaitiri (à gauche) et Qu Guangzhou, chargé d'affaires de l'ambassade de Chine présent à la cérémonie officielle du lancement de SmartGate à l'aéroport international d'Auckland, le 17 novembre 2017.