Toute tentative de dénigrer à la Chine est vouée à l'échec

Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué jeudi que toute tentative de dénigrer la Chine ou de faire obstacle à son développement et à sa stabilité est futile et vouée à l'échec.

Le porte-parole, Geng Shuang, a fait ces commentaires en réponse à une question concernant le discours du secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo prononcé mercredi au Hudson Institute à New York.

"Nous exhortons ce responsable américain à réfléchir et à corriger ses erreurs, et à cesser de saper les relations bilatérales par des paroles ou des actes", a déclaré M. Geng lors d'un point de presse.

Les remarques de M. Pompeo ont violemment attaqué le Parti communiste chinois (PCC) et le gouvernement chinois, ont tenté de diviser le PCC et le peuple chinois, et ont délibérément déformé et porté atteinte aux politiques intérieures et extérieures de la Chine. Cela révèle complètement les préjugés politiques profondément enracinés de certains hommes politiques américains, ainsi que leur anticommunisme répugnant, a-t-il déclaré, ajoutant que de tels commentaires ne montraient ni confiance ni force, mais simplement de l'arrogance et de la peur.

La Chine a accompli des progrès remarquables sous la direction énergique du PCC depuis la fondation de la République populaire de Chine, il y a 70 ans. Le peuple chinois poursuivra inlassablement la voie du socialisme à la chinoise et fera constamment de nouvelles réalisations, a déclaré M. Geng.

Seule la coopération entre la Chine et les Etats-Unis permettra de parvenir à une situation gagnant-gagnant, alors que la confrontation ne mènera qu'à un scénario perdant-perdant, selon M. Geng.

Il a appelé les Etats-Unis à coopérer avec la Chine pour gérer les différends sur la base du respect mutuel, à élargir la coopération gagnant-gagnant et à faire progresser les relations sino-américaines caractérisée par la coordination, la coopération et la stabilité, sur la base des principes et des orientations décidés par les deux chefs d'Etat.