Dernière mise à jour à 16h02 le 02/06
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| Photo / Xinhua |
Le gouvernement de la région autonome ouïghoure du Xinjiang a démenti le 1er juin une allégation selon laquelle les musulmans s'étaient vu interdire de jeûner dans la région pendant le Ramadan et a déclaré que cette affirmation a été fabriquée par des forces étrangères du « Turkestan oriental ».
Récemment, les forces du « Turkestan oriental », qui ont pour but de séparer le Xinjiang de la Chine, ont prétendu que la région avait interdit aux musulmans le jeûne du Ramadan, et le site Internet du « Congrès mondial ouïghour » a annoncé son intention de publier des clips vidéo affirmant que les Ouïghours ont été victimes de « persécutions » pendant le Ramadan.
« Les allégations d'interdiction du jeûne par des forces à l'étranger sont absurdes. Lors de chaque Ramadan, elles copient et propagent constamment de telles rumeurs tout le temps, attaquant imprudemment le Xinjiang », a déclaré Ilijan Anayt, porte-parole du gouvernement régional, lors d'une conférence de presse organisée le 1er juin.
Selon M. Ilijan, aucun citoyen n'est victime de discrimination ou maltraité parce qu'il croit ou ne croit pas à une religion au Xinjiang, et les activités religieuses légales des croyants, effectuées dans des lieux religieux ou chez soi, telles que les prières et le jeûne, sont gérées par des groupes religieux ou des croyants eux-mêmes et protégées par la loi.
En ce qui concerne les vidéos montrant la soi-disant persécution des Ouïghours, M. Ilijan a déclaré qu'il s'agissait de contrefaçons, qui visent à semer la discorde entre les groupes ethniques, à perturber les relations ethniques et à inciter à l'antagonisme ethnique dans la région. « Les intentions qu'elles nourrissent sont extrêmement vicieuses. Indiscutablement, le Xinjiang a connu l'harmonie et vu des activités religieuses ordonnées au cours du mois de jeûne », a souligné M. Ilijan.
Dans le même temps, en réponse à une allégation selon laquelle les centres de formation professionnelle de la région sont confrontés au risque d'une épidémie de COVID-19 à grande échelle, le porte-parole a déclaré qu'il s'agissait d'une accusation sans fondement et totalement ridicule.
« De concert avec certains politiciens anti-chinois américains et occidentaux, les forces du "Turkestan oriental" veulent politiser la pandémie et stigmatiser la Chine sous couvert du COVID-19, et leur comportement ignoble ne prouve rien d'autre que leur mentalité obsédante et leur intention vicieuse agissant au nom des forces occidentales anti-chinoises dirigées par les États-Unis », a affirmé M. Ilijan.
Selon le gouvernement régional, il y a eu 76 cas confirmés de COVID-19 au Xinjiang, et aucun nouveau cas n'a été signalé depuis plus de 100 jours consécutifs. « Grâce aux efforts conjoints déployés par les habitants du Xinjiang de tous les groupes ethniques, la situation pandémique dans la région a été efficacement maîtrisée », a ajouté M. Ilijan.
Le Xinjiang a créé des centres de formation professionnelle conformément à la loi pour dispenser des cours de mandarin, de droit, de compétences professionnelles et des programmes de déradicalisation destinés aux personnes influencées par l'extrémisme religieux et le terrorisme. Selon le gouvernement régional, tous les stagiaires des centres ont obtenu leur diplôme en décembre 2019.
« Puisque tous les stagiaires ont quitté les centres, obtenu un emploi stable et commencé une vie heureuse, comment peut-il y avoir un risque d'infection à grande échelle dans les centres ? », a-t-il demandé.
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