La Voix de l'Amérique et le gouvernement américain sont complices dans les tentatives de réprimer la Chine

Depuis un certain temps, La Voix de l'Amérique (Voice of America - VOA) coopère avec le gouvernement américain pour politiser de nombreuses questions liées à la Chine dans le but de contenir et de réprimer la Chine, a affirmé mardi le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian.

M. Zhao s'est ainsi exprimé en réponse à un "rapport de fin d'année" publié récemment par VOA, selon lequel en 2021, la Chine a porté atteinte aux droits de l'homme et à l'état de droit à Hong Kong et perpétré un prétendu "génocide" au Xinjiang.

"VOA a toujours ignoré les faits et regardé la Chine avec des préjugés. ll est difficile de trouver de quelque chose de bien sur la Chine dans leurs rapports", a fait remarquer M. Zhao.

Selon le porte-parole, il y a peu de temps, un ancien employé de VOA a déclaré qu'il n'avait pas réalisé, avant de venir en Chine, que les reportages de VOA qu'il avait l'habitude de lire tous les jours étaient complètement contraires à la situation réelle en Chine.

Le journaliste a également indiqué que certaines personnes travaillant pour VOA avaient été renvoyées parce qu'elles suggéraient d'augmenter la couverture positive de la Chine, a fait observer M. Zhao.

"Il est terrible de penser qu'un groupe de personnes qui n'ont aucun intérêt sincère de connaître la Chine travaillent pour VOA, font des reportages et des commentaires sur la Chine", a indiqué le porte-parole.

La relation entre VOA et le gouvernement américain est connue de tous dans le monde. "Une fois qu'on sait cela, il n'est pas difficile pour nous de comprendre le comportement de VOA", a ajouté M. Zhao.

La politisation des questions relatives aux droits de l'homme par les Etats-Unis et VOA a eu des conséquences désastreuses pour le monde. Les gens du monde entier ne feront que prendre de plus en plus conscience du vrai visage des Etats-Unis caché sous le masque du "défenseur des droits de l'homme", a souligné M. Zhao.