L'organe chinois de contrôle de la presse a rendu publics sept cas de pratiques illégales des médias.
Dans un cas, plusieurs employés d'une revue juridique dans la province chinoise du Shanxi (nord) ont accepté 30.000 yuans (4.880 dollars) d'une société minière contre leur silence alors qu'ils faisaient un reportage sur un accident meurtrier dans une mine de charbon, a-t-on appris mardi de l'Administration générale d'Etat de la presse et de la publication, de la radio, du film et de la télévision.
L'administration a imposé la fermeture de la revue durant deux mois.
Dans un autre cas, la carte de presse d'un journaliste du Information Daily au Jiangxi a été révoquée après qu'il a été découvert qu'il gérait une entreprise parallèlement à sa profession de journaliste. Le quotidien a aussi été condamné à une amende de 30.000 yuans.
Les journalistes chinois ne sont pas autorisés à exercer en même temps une autre profession.
L'administration a mis en garde tous les organes des médias contre toute violation aux règles et a demandé aux autorités locales de la presse de sanctionner strictement les organisations de presse illégales et de licencier les journalistes qui violent les règlements.
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