Dernière mise à jour à 16h17 le 30/03
1/10Pu Lianggong contrôle les matières de base pour fabriquer les encens, le 29 mars 2017. (Photo/Xinhua)
2/10Une méthode artisanale pour produire les parfums Yongchun. (Photo / Xinhua)
3/10Une méthode artisanale pour produire les parfums Yongchun. (Photo / Xinhua)
4/10Une méthode artisanale pour produire les parfums Yongchun. (Photo / Xinhua)
5/10L’héritier de l’ancien encens Yongchun apprend à son fils à identifier les différentes senteurs. Le jeune homme est notamment chargé de vendre des encens en Asie du Sud et en Europe. (Photo/Xinhua)
6/10Les encens de Yongchun. (Photo/Xinhua)
7/10Une ancienne marque sur l’emballage des encens Yongchun.(Photo/Xinhua)
8/10Vue aérienne du terrain où les encens sont séchés sous le soleil. (Photo/Xinhua)
9/10Les encens sont séchés sous le soleil. (Photo/Xinhua)
10/10Pu Lianggong dans son atelier, le 29 mars 2017. (Photo/Xinhua)
Pu Lianggong, 63 ans, est le descendant d'une famille connue pour la fabrication des encens Yongchun, un savoir-faire qualifié comme le patrimoine culturel immatériel de Quanzhou, dans la province du Fujian (sud-est de la Chine).
En 1646, ses ancêtres ont déménagé dans le village où il réside actuellement, avec le secret des parfums arabes. Aujourd'hui, Pu Lianggong est la 10e génération de cet héritage familial.
Le commerce maritime développé au cours des dynasties Song et des Yuan (960-1368) a fait de la ville de Quanzhou le plus grand port à l'est de la Chine. En s'installant à Quanzhou, des voyageurs arabes ont apporté divers parfums et aromates, ainsi que le savoir-faire de la fabrication du parfum.
Riche d'une longue histoire, les encens Yongchun requièrent plusieurs centaines de matériaux à base de plantes médicinales chinoises, passant par une dizaine d'étapes avant la finition.