Dernière mise à jour à 16h06 le 30/04
Avant le sommet « Une Ceinture, une Route », Tim, un jeune Australien qui représentait les volontaires internationaux de Hangzhou et portait avec lui une question posée il y a deux ans par les jeunes d'une vingtaine de nations de la Route de la Soie « Que souhaitez-vous le plus ramener chez vous ? », est spécialement venu à Beijing pour y trouver la réponse. De fait, on a pu constater que, ces deux dernières années, diverses bonnes choses en provenance de Chine ont suivi le parcours de l'initiative « Une Ceinture, une Route » pour arriver chez les gens ordinaires qui habitent le long de la Route de la Soie.
Ange, une étudiante malaisienne installée à Beijing depuis plus de deux ans, se rappelle qu'elle voyait en Malaisie que seuls les touristes chinois pouvaient utiliser Alipay. Elle en avait toujours été envieuse. Mais à son retour dans sa ville natale il y a un an, elle a découvert que les Malaisiens avaient désormais aussi leur propre « Alipay ». Aujourd'hui, sa famille restée là-bas peut également utiliser son téléphone portable pour payer le métro et les autoroutes, comme elle le fait en Chine.
Aliya, étudiante de haut niveau en Chine originaire d'Azerbaïdjan, a dit ce qui l'a le plus impressionné, c'est le train Chine-Europe. Elle a dit que ce train Chine-Europe est comme le « train à grande vitesse chinois » dans le secteur du fret, reliant la Chine à son pays natal. Elle a confié avoir hâte de pouvoir apporter plus de bonnes choses chez elle grâce à ce train Chine-Europe.
Bilal, étudiant pakistanais, a quant à lui déclaré que l'initiative « Une Ceinture, une Route » jouit d'une grande popularité dans son pays natal, raison pour laquelle il est venu faire ses études en Chine. Les étudiants qui ont acquis des connaissances et des compétences lors de leurs études en Chine sont très demandés quand ils rentrent ensuite chez eux.
Vitchaphong, un thaïlandais, a quant à lui mentionné Douyin ; il se dit d'ailleurs que les stars thaïlandaises actuelles s'amusent aussi sur Douyin pendant leur temps libre.
Le festival chinois du shopping du « Double 11 » rend également littéralement fous les jeunes d'Asie du Sud-Est et du Sud quand arrive ce jour-là. Sakib, un étudiant bangladais, a ainsi déclaré que la plateforme de commerce électronique locale Daraz (l'équivalent de « Tmall » en Chine) a également organisé un événement « Double 11 » l'année dernière, avec des rabais substantiels sur des produits allant de l'électronique aux vêtements
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« Dans l'Antiquité, il y avait une Route de la Soie et maintenant il y a "Une Ceinture, une Route" », a dit Mu Yingjie, un commerçant turc qui aime la culture chinoise, avec une émotion sincère. De retour chez lui, il a découvert que de nombreuses personnes en Turquie utilisent des choses, portent des vêtements ou d'autres choses et même conduisent des voitures, fabriqués en Chine.
Mu Yingjie a confié à Tim qu'il était également très fier de voir que l'huile d'olive, les glaces et d'autres choses originaires de Turquie entraient également en Chine grâce à l'initiative « Une Ceinture, une Route ». Des amis chinois autour de lui ont également fait l'éloge de ces produits « Made in Turkey ».
Katherine, originaire d'Australie, a déclaré que, grâce aux touristes chinois et aux étudiants internationaux, la Chine est devenue la plus grande source de touristes et d'étudiants internationaux en Australie, créant une énorme valeur pour les PME locales.
Avec la large reconnaissance de l'initiative « Une Ceinture, une Route » le long de son parcours, les produits « Made in China » sont apparus de plus en plus nombreux sur la scène internationale. Naguère, la Chine exportait essentiellement des produits et de la technologie chinoise, mais aujourd'hui, elle exporte aussi des modes de vie et des idées.
« Les changements survenus au cours des cinq dernières années sont en effet visibles », a dit Tim, ajoutant que l'initiative « Une Ceinture, une Route » était devenue un lien. Les pays développés et en développement peuvent se connecter et communiquer grâce à ce lien et progresser. Bien que ce soit la Chine qui ait proposé l'initiative « Une Ceinture, une Route », ses réalisations appartiennent au monde entier et continueront de bénéficier à l'avenir de l'humanité.
(La vidéo, les images et les textes de l'article ont été fournis par l'Institut de recherche sur la Route de la Soie de l'Université des études étrangères de Beijing)