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Les affirmations sans fondement des États-Unis, le vent les emportera !

le Quotidien du Peuple en ligne | 21.05.2019 11h05

Ces derniers temps, aux États-Unis, certaines personnes se répandent à l'envi en pleurant un peu partout dans le monde, disant des choses comme « Nous avons reçu un "traitement inéquitable", la Chine a obtenu des "avantages injustes" » et « La Chine a volé les droits de propriété intellectuelle des États-Unis »... tout cela témoigne d'un regard empli à la fois d'amertume et de haine. Ce genre d'affirmation de « vol des droits de propriété intellectuelle par la Chine », conçu de cette manière, est en réalité un prétexte pour se livrer, sous couvert d'un soi-disant « manteau de la justice » à des frictions commerciales, contrecarrer et dissuader le développement de la Chine.

Au cours des deux dernières années, les États-Unis n'ont cessé de faire du tapage sur les questions de propriété intellectuelle, accusant la Chine sur du vent. En mars 2018, les États-Unis ont publié un rapport d'enquête 301 sur la Chine, affirmant que « la Chine nuit aux intérêts américains en matière de droits de propriété intellectuelle ». Bien que ceux qui disent ça soient en fait peu nombreux, les États-Unis n'en font pas moins beaucoup de bruit à ce sujet. Certains responsables américains ont récemment déclaré que « le vol de propriété intellectuelle par la Chine constitue un défi pour les négociations commerciales ». Bien que les États-Unis parlent haut et fort, qu'ils remuent beaucoup et fassent des promesses solennelles, il n'en reste pas moins que les faits sont les faits, que les mensonges ne peuvent pas remplacer la vérité et que les prétentions telles que « le vol de droits de propriété intellectuelle par la Chine » sont purement et simplement des accusations sans fondements. Qui pourrait les croire ?

Certains responsables américains ont affirmé arbitrairement que la Chine avait volé des droits de propriété intellectuelle américains pour « des centaines de milliards de dollars ». En fait, beaucoup de gens perspicaces aux États-Unis même n'ont que mépris pour ce genre de chiffres. Les gens ont vraiment du mal à deviner comment ce chiffre a pu être calculé. Tout au plus peut-on dire qu'il émane d'une sorte de cerveau de génie doté d'une fonction d'amplification numérique extraordinaire... certaines personnes ont dit que raconter un mensonge mille fois le transformait en vérité ; il semble que certaines personnes aux États-Unis considèrent toujours cela comme une norme.

Ce chiffre peu fiable, seules des personnes peu fiables ont pu y parvenir. Si on prend l'« enquête 301 » comme exemple, on s'aperçoit que les États-Unis ont de multiples rôles, en tant que parties, policiers, procureurs, jurés, juges, etc., jugeant et accusant unilatéralement sur les droits de propriété intellectuelle des autres pays, ajoutant ce qu'ils veulent, fabriquant des rumeurs, en s'appuyant simplement sur des hypothèses bâties sur le vide. Dans ces conditions, peut-on encore parler de justice ? Si l'enquête est basée sur l'imagination et des données sélectives, il s'agit alors d'un roman de science-fiction ! Les États-Unis le savent bien, mais ils veulent simplement trouver des excuses aussi prétentieuses que grandiloquentes pour justifier leurs décisions déraisonnables.

Renforcer la protection des droits de propriété intellectuelle, c'est l'élément le plus important pour améliorer le système de protection des droits de propriété, mais aussi le principal incitatif pour améliorer la compétitivité économique de la Chine. Après des décennies d'efforts inlassables, du concept social à l'environnement de l'État de droit, en passant par la protection effective, la protection de la propriété intellectuelle de la Chine a fait des progrès rapides, elle a obtenu des résultats remarquables et une reconnaissance universelle. Cela fait bien longtemps qu'elle est passée de l'idée de « Je dois protéger » à celle de « Je vais protéger ».

La Chine a mis en place un système juridique relativement complet et de haut niveau en matière de propriété intellectuelle, et elle renforce continuellement la protection juridictionnelle des droits de propriété intellectuelle, devenant ainsi le plus grand pays au monde en matière d'affaires de propriété intellectuelle, notamment de brevets. En 2018, les droits de propriété intellectuelle payés par la Chine à l'étranger se sont élevés à 35,8 milliards de dollars, faisant d'elle le quatrième importateur de brevets au monde. Chacun se souvient de cet incident survenu il y a peu de temps: dans le différend relatif aux droits de licence de brevet entre Apple et Qualcomm, les deux parties ont engagé un grand nombre de poursuites en Chine. Les entreprises américaines témoignent devant le monde entier, avec des actions concrètes, de la confiance qu'ils ont envers la protection des droits de propriété intellectuelle par la Chine.

Justes et raisonnables, les efforts de la Chine sont de plus en plus reconnus. L'hebdomadaire britannique « The Economist » a publié un article dans lequel il a indiqué que la protection de la propriété intellectuelle en Chine s'était rapidement améliorée ces dernières années: la Chine n'est pas un voleur de propriété intellectuelle, mais un protecteur. Même un rapport officiel du gouvernement américain publié avant 2016 affirmait également de manière positive les réalisations de la Chine en matière de protection de la propriété intellectuelle. Cependant, au cours des deux dernières années, certaines personnes aux États-Unis ont ignoré les faits et ont pris un virage, s'orientant vers un axe central anti-Chine : elles disent un jour l'inverse de ce qu'elles disaient la veille, et en fait on ne peut que dire qu'elles se livrent à un combat politique sous couvert de protection des droits de propriété intellectuelle. Les droits de propriété intellectuelle, qui devraient constituer un pont pour l'innovation et la coopération entre les pays, sont aujourd'hui devenus entre les mains des États-Unis un outil politique, une arme pour contenir d'autres pays et une feuille de vigne pour cacher une intimidation du monde entier.

Au cours du processus de réforme et d'ouverture de la Chine, de nombreuses sociétés étrangères ont entamé une coopération technique avec les entreprises chinoises dans leur propre intérêt : il s'agit d'un contrat de marché et les sociétés étrangères ont reçu des bénéfices généreux que personne n'ignore. Même si la protection des droits de propriété intellectuelle pose un problème, il peut être résolu par des moyens légaux. La manipulation par les États-Unis du « gros bâton » en matière de propriété intellectuelle est un déni des droits de propriété et de la sensibilisation à leur crédit, un déni de l'esprit des contrats et des règles du marché. Certains Américains ont une logique étrange, calculant la valeur des choses se trouvant entre les mains des États-Unis et affirmant finalement directement que la somme de ce nombre astronomique a été « volée » par d'autres.

Mais les faits parlent plus que les mots, et la vérité se répand partout dans le monde. Les personnes qui ont une bonne mémoire savent qu'aucun pays au monde ne peut se moderniser par le « vol ». Les gens ne peuvent s'empêcher de demander : les États-Unis se sont-ils développés par le « vol » ? Les États-Unis peuvent-ils se développer par le « vol » ? Il y a fort à parier qu'aux États-Unis, certaines personnes aient envie de nier cette affirmation. En un mot, les réalisations de la Chine en matière de développement ont été obtenues de manière réaliste par le peuple chinois. Certains Américains qui se livrent ainsi à des accusations infondées finiront par être chassés de la scène de l'histoire par un puissant vent d'orient !

(Rédacteurs :Xiao Xiao, Yishuang Liu)
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