Dernière mise à jour à 15h31 le 03/09
Depuis plus de deux mois, la violence des manifestants radicaux à Hong Kong s'est intensifiée et les dommages sociaux ont augmenté. La police de Hong Kong a annoncé que près de 900 personnes avaient été arrêtées jusqu'à présent et qu'elle continuerait à appliquer strictement la loi et à traduire les auteurs d'actes illégaux en justice. Le gouvernement central chinois soutient fermement le gouvernement de la RAS de Hong Kong et sa police dans leur combat contre la violence en conformité avec la loi, dans leur protection résolue de la souveraineté nationale, la sécurité, les intérêts du développement et la prospérité et la stabilité de Hong Kong, et dans leurs efforts pour ne pas permettre à la violence de prendre en otage son avenir.
Il est indéniable que la société de Hong Kong a diverses revendications, mais, à l'heure actuelle, la plus grande partie de l'opinion publique souhaite la stabilité et la paix, et la tâche la plus urgente consiste à mettre un terme à la violence et à rétablir l'ordre. Certains membres du public ont déclaré : « Cette tempête violente est plus terrible que l'épidémie de SRAS à Hong Kong », craignant qu'une fois que la réputation de la ville sera détruite, la reconstruction sera très difficile. Certaines personnes disent que si la violence et le chaos persistent, « les industries de Hong Kong font face à la faillite et à une vague de chômage ». Certains disent même que, chaque jour, ils doivent réfléchir aux vêtements qu'ils vont porter avant de sortir ensuite, craignant que les couleurs qu'ils portent risquent de les voir se faire agresser par d'autres ... Est-ce encore cela, le Hong Kong avec lequel nous étions familiers ? Hong Kong peut-il encore continuer comme ça ? Peut-on laisser la violence détruire la Perle de l'Orient?
La violence est la violence. Toute tentative d'excuser la violence est une connivence avec elle. Certaines contradictions profondes à Hong Kong nécessitent des efforts concertés de toutes les couches de la société, mais la violence ne deviendra jamais une « option raisonnable ». La société de Hong Kong pourra-t-elle jamais être pacifiée si des personnes d'opinions et d'appels politiques différents recourent souvent à la violence pour obtenir la « justice » tels qu'ils la conçoivent dans leur esprit ? Réclamons la démocratie et la liberté tout en violant les droits des autres et en détruisant l'ordre, la démocratie et la liberté, n'est-ce pas là un prétexte pour mettre en danger la société ? Tout compromis quel qu'il soit face à la violence ne fera qu'encourager plus de violence. Dire résolument « non » à la violence est la ligne de fond d'une société régie par la loi et le consensus d'une société civilisée. L'arrêt du tribunal de Hong Kong dans le cas du mouvement illégal « Occupy Central » montra également en son temps que les beaux slogans tels que « résistance civile » ne peuvent dissimuler l'essence de la violence et ne peuvent pas exonérer ceux qui en sont coupables de leurs responsabilités face à la violation de la loi.
Aujourd'hui, les intentions des auteurs de violences radicaux et de l'opposition sont bien connues de tous. Chacun a pu constater que leur « position anti-révision» initiale n'était qu'un prétexte. Lorsque le gouvernement de la RAS a suspendu cette révision, ils ont continué à lancer des slogans extrêmes tels que « Rétablissement de Hong Kong, Révolution des temps » et ont gravement remis en cause la souveraineté nationale. En bref, l'escalade de la violence a pour objectif de paralyser le gouvernement de la RAS et la police, de plonger Hong Kong dans l'anarchie et de concurrencer le gouvernement central dans la gouvernance de Hong Kong, et pour cela ils n'épargnent aucun effort pour utiliser les jeunes comme « chair à canon » et mettent, quel qu'en soit le prix, les citoyens sur des charbons ardents.
Après avoir bien vu cela, est-il encore possible de reculer face à cette menace politique irrationnelle, radicale et sans fondement ? Peut-il y avoir un compromis face à ces actes illégaux qui remettent sérieusement en cause le principe « Un pays, deux systèmes »? La réponse est absolument négative. « Il est absolument impensable de permettre toute activité mettant en danger la souveraineté et la sécurité de l'État, de contester l'autorité des autorités centrales et la loi fondamentale de la région administrative spéciale de Hong Kong, et d'utiliser Hong Kong pour infiltrer et détruire la partie continentale de la Chine ». Si quelqu'un se croit suffisamment malin pour penser que l'escalade de la violence obligera le gouvernement central à faire des compromis sur la question de principe, alors qu'il comprenne bien que ce n'est qu'un mirage. Si des troubles échappent au contrôle du gouvernement de la RAS à Hong Kong, le gouvernement central ne restera pas les bras croisés. Selon les dispositions de la Loi fondamentale, le gouvernement central dispose de suffisamment de mesures et de forces puissantes pour réprimer rapidement toutes les perturbations possibles.
La fin des émeutes conditionne l'avenir de Hong Kong. Nous rendons hommage à la police de Hong Kong et aux forces patriotiques qui défendent l'état de droit. Ils défendent la pierre angulaire de la prospérité et de la stabilité de Hong Kong, protéger la position de Hong Kong en tant que centre financier, commercial et maritime international et préserver les intérêts communs de la société hongkongaise et des investisseurs étrangers. Nous voulons dire aux jeunes égarés et contraints que la violence n'est absolument pas le moyen d'aimer Hong Kong. Les bons jeunes ne devraient pas être les marionnettes politiques des autres, la « chair à canon » et les pièces d'échecs de la mafia qui agissent dans les coulisses. Nous voulons également avertir toutes les forces « anti-Hong Kong chinoise » de ne pas se tromper sur la situation, de considérer la retenue comme une faiblesse, de sous-estimer la volonté ferme et la ferme détermination du gouvernement central. Et les peuples de tout le pays à sauvegarder la souveraineté nationale, la sécurité et l'unité et à maintenir la prospérité et la stabilité de Hong Kong.