Dernière mise à jour à 13h40 le 10/11
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L'ingérence flagrante et grossière dans les affaires intérieures d'autres pays est une caractéristique importante de la diplomatie hégémonique américaine.
Depuis longtemps, les États-Unis, s'appuyant sur leur puissance économique, militaire, scientifique et technologique, utilisent à la fois la force « culturelle » et « militaire », recourant tour à tour au « doux » et au « dur » et coopèrent avec les responsables et le « peuple ». On peut dire que les États-Unis ont commis de nombreuses mauvaises actions en interférant dans les affaires intérieures d'autres pays, ce qui constitue une menace sérieuse pour la sécurité politique mondiale.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a aucune guerre de grande ampleur dans le monde qui n'ait été directement ou indirectement liée aux États-Unis, et il n'y a aucune région ou pays ayant connu des troubles continus dans lequel les États-Unis n'aient été impliqués. Les États-Unis continuent d'accroître leur hégémonie par la guerre et leur ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays est devenue de plus en plus sans scrupules.
En 2001, l'armée américaine est entrée en Afghanistan au nom de la « lutte contre le terrorisme ». Pendant 13 ans, plus la lutte contre le terrorisme s'accroissait, plus la situation était effrayante. Des milliers de soldats américains sont morts à l'étranger et 900 milliards de dollars y ont été engloutis. En 2003, les États-Unis, sous prétexte que « l'Irak fabriquait des armes de destruction massive », contournant les Nations Unies, ont lancé une attaque, renversé le régime de Saddam Hussein et occupé les deuxièmes plus grandes ressources pétrolières du monde. La guerre en Irak a duré neuf ans, coûtant la vie à des centaines de milliers de personnes. En 2011, les États-Unis ont imposé des sanctions à la Syrie au nom des Nations Unies. La rumeur faisant état de l'existence d'« armes chimiques » a poussé les pays occidentaux à intervenir par la force, avec pour conséquence un nouveau « cas d'injustice » qui n'a jamais été résolu.
La guerre déclenchée par les États-Unis ou à laquelle ils ont participé directement, ou a utilisé l'Organisation des Nations Unies, ou l'a contournée et a agi à sa manière. En fait, l'essence de la guerre était de s'ingérer dans les affaires intérieures d'autres pays et d'engager la guerre pour ses propres intérêts. Toutes les raisons sont des excuses intenables, même de purs mensonges et tromperies. Quelle est la différence entre de tels actes et des bandits?
La main « militaire » est vicieuse et arrogante, tandis que la main « culturelle » est insidieuse et rusée. L'histoire n'oubliera pas les « Révolution des couleurs » dans l'ex-bloc soviétique et le « Printemps arabe » au Moyen-Orient et en Afrique du Nord au début de ce siècle. De la « révolution orange » et de la « révolution de velours » à la « révolution des tulipes », à la « révolution des roses » et à la « révolution du jasmin », et même derrière les émeutes à Hong Kong, en Chine, il y avait la main noire des États-Unis. Par le biais d'interventions publiques officielles et le fonctionnement de soi-disant « organisations non gouvernementales », les États-Unis ont vigoureusement encouragé le changement de pouvoir politique dans ces pays jusqu'à ce que le régime change. Le réseau de commandement américain a été impliqué dans plus de dix pays. Le terme de « Révolution des couleurs » est un synonyme pour une « évolution pacifique » de pays aux idéologies, aux systèmes politiques et aux modèles de développement différents. C'est aussi le moyen le plus dangereux de « soumettre les soldats sans guerre » pour s'immiscer dans les affaires intérieures des autres pays.
Quant aux pays qui sont classés comme « forces du mal » parce qu'ils disent non aux États-Unis, l'ingérence et les attaques américaines sont partout. De l'extrême pression politique, des sanctions économiques cruelles, de l'isolement et de l'endiguement diplomatique, des intimidations aux menaces militaires, de la calomnie au mensonge dans l'opinion publique et aux complots d'assassinat, les moyens utilisés par les États-Unis sont vicieux, insidieux et mesquins. Leur politique d'intervention n'épargne même pas leurs alliés, et les relations extérieures et la politique de défense des alliés européens de Washington font l'objet de toutes sortes de propos irresponsables.
Bien que l'économie américaine occupe la première place au monde, le monde n'est pas pour autant américain. Les affaires de chaque pays doivent être déterminées par les peuples de chaque pays, et les États-Unis ne peuvent être celui qui a le « mot final » pas plus qu'on ne peut les laisser exercer leur « juridiction à bras long ». Les États-Unis sont devenus dépendants à l'ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays, faisant de l'intimidation une règle, méprisant les principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies et les normes des relations internationales, piétinant la conscience morale de l'humanité, mettant en danger la sécurité du monde et le bien-être des peuples de toutes les nations, mais aussi ceux du peuple américain.
Cependant, l'histoire finira par rendre un jugement juste : pour l'hégémonisme, l'interférence dans les affaires des autres, le suprémacisme et l'intimidation, il n'y aura aucune issue.
Par Ji Ping
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