Dernière mise à jour à 14h57 le 30/07
Lorsque les États-Unis ont de nouveau commencé à attiser le problème de traçage de la COVID-19 en accusant la Chine, le public chinois n'a pas pu le supporter. Ils ont commencé à signer une pétition commune pour demander qui enquêter sur le laboratoire de biologie de Fort Worth aux États-Unis. Comme on l'imagine, le nombre de signataires a augmenté rapidement, mais lorsque ce chiffre a dépassé les 10 millions, le serveur qui héberge les signatures en ligne a été attaqué deux fois, et l'agresseur est une adresse IP des États-Unis. Heureusement, le serveur a résisté à l'attaque avec peu de pertes. Mais il y a fort à craindre que ce ne soit pas fini : à l'avenir, les attaques contre le serveur chinois par les forces américaines qui tentent de dissimuler la vérité sur Fort Detrick se poursuivront.
Qu'est-ce que Fort Detrick ? Un laboratoire biochimique affilié à l'armée américaine, qui détient des données sur la guerre bactériologique, notamment des nazis allemands et de la sinistre « Unité 731 » des envahisseurs japonais. En juillet 2019, une « pneumonie » inexpliquée s'est produite dans deux maisons de soins infirmiers près de Fort Detrick ; en septembre de la même année, le Maryland, où se trouve le laboratoire de biochimie, a signalé l'apparition d'une « pneumopathie associée au vapotage » est apparue dans l'État, et le nombre de patients a rapidement doublé. C'est à cette époque que des « maladies respiratoires inexpliquées » ont commencé à apparaître en Virginie du Nord et au Wisconsin, et qu'une « pneumopathie associée au vapotage » à grande échelle a éclaté. En juillet 2019, le Centre de contrôle et de prévention des maladies américain a envoyé une « lettre officielle de cessation d'exploitation » à Fort Detrick, qui a été fermé depuis lors.
Pourquoi fermer ce laboratoire biochimique ? La raison citée à ce moment-là était qu'il y avait un problème de fuite. Mais qu'a-t-il révélé ? Et dans quelle mesure ? La fuite est-elle la cause de la prolifération de la « pneumopathie associée au vapotage » constatée aux alentours ? Les États-Unis ont refusé de divulguer la moindre information à ce sujet au nom de la « sécurité nationale », et l'affaire est devenue un mystère qui perdure jusqu'à présent.
En fait, l'épidémie de COVID-19 aux États-Unis a éclaté au moins un mois avant la Chine. Le 15 juin 2021, heure locale, les médias américains ont rapporté que les Instituts nationaux de la santé (National Institutes of Health, NIH) avaient lancé une étude intitulée « All of Us » (« Nous tous »). Les chercheurs ont collecté 24 000 échantillons de sang de tous les États-Unis au début de 2020. Et du moins 9 échantillons de sang et des anticorps de la COVID-19 ont été détectés.
Plus important encore, des recherches de la NIH ont prouvé que dès décembre 2019, la COVID-19 avait commencé à se « propager à basse vitesse » aux États-Unis, soit un mois en avance avec l'apparition de la COVID-19 dans la ville chinoise de Wuhan.
En outre, selon des articles du Palm Beach Post et de USA Today publiés en 2020, deux mois avant la notification officielle du premier cas de COVID-19 confirmé, 171 personnes avaient infectées par le COVID-19 en Floride en décembre 2019, dont 103 d'entre eux n'avaient pas voyagé à l'étranger.
Pourquoi les États-Unis ne procèdent-ils pas à un auto-examen, et pire encore, refusent-ils de le faire ? Il y a fort à craindre qu'ils ne se sentent pas tranquilles et ont quelque chose à dissimuler.
Cependant, les États-Unis ne pourront pas se cacher. Car au moins 2 milliards de personnes dans le monde s'interrogent sur les États-Unis et Fort Detrick. Les États-Unis doivent faire une déclaration. Ils doivent défendre le principe d'équité et de transparence qu'ils ont publiquement souligné à maintes reprises. Ils doivent permettre aux scientifiques de divers pays d'enquêter sur l'apparition et le développement du COVID-19 aux États-Unis. La justice envers plus de 4 170 000 victims l'exige.
Niu Wenxin