Dernière mise à jour à 14h25 le 29/07
Depuis un certain temps, les États-Unis attisent les flammes partout et n'ont cessé de renforcer la manipulation politique de l'origine de COVID-19. Ils semblent être préoccupés par la traçabilité de l'épidémie, mais dans le même temps ils n'ont rien fait de bénéfique pour le traçage scientifique à la source et la solidarité mondiale et la prévention de l'épidémie. Pire même, lorsque certaines personnes au sein du gouvernement américain ont utilisé le virus pour retracer sa source et discréditer et calomnier la Chine, elles n'ont pas hésité à parler de « responsabilité » et de « sauver des vies ». Cependant, les gens ne peuvent s'empêcher de demander : par rapport aux résultats stratégiques majeurs de la Chine dans la lutte contre l'épidémie dans un court laps de temps, les États-Unis, pourtant le pays le plus développé et le plus mature au monde en matière de technologie médicale, n'ont pas seulement échoué à contrôler l'épidémie à l'intérieur de leurs frontières. Jusqu'à présent, près de 35 millions de personnes dans le pays ont été diagnostiquées atteintes de la COVID-19, plus de 610 000 personnes ont perdu la vie et ont propagé le virus à l'étranger, faisant des États-Unis un véritable pays de propagation du virus. Où ce genre d'Amérique montre-t-elle un sens des responsabilités ? Comment peut-elle prétendre qu'elle se soucie vraiment de la vie des gens ?
Les États-Unis n'ont pas réussi à lutter contre l'épidémie chez eux et n'ont pas pris de mesures de contrôle de sortie de leur territoire substantielles et efficaces, ce qui a exacerbé la propagation mondiale de l'épidémie. Selon les données publiées par l'Office national du tourisme des États-Unis, d'avril 2020 à mars 2021, un total de 23,195 millions de citoyens américains se sont rendus à l'étranger par voie aérienne et terrestre. La période de novembre 2020 à janvier 2021 a été le pic de l'épidémie aux États-Unis, avec une moyenne de 186 000 nouveaux cas confirmés par jour. Au cours de la même période, le nombre moyen de citoyens américains se rendant à l'étranger par jour était de 87 000, atteignant un pic. L'irresponsabilité américaine a conduit à des cas importés des États-Unis dans de nombreux pays. Les résultats de recherche de l'Université de Tel Aviv en Israël en mai 2020 ont montré qu'environ 70% des cas confirmés dans le pays avaient été infectés par des souches virales en provenance des États-Unis. De leur côté, les médias sud-coréens ont rapporté le 25 février de cette année que 35% des 7 000 cas importés dans le pays provenaient des États-Unis. Les médias néo-zélandais ont pour leur part rapporté qu'entre février 2020 et début janvier 2021, 182 cas ont été importés des États-Unis, se classant deuxième. Et le ministère australien de la Santé a annoncé en mai 2020 que 14% des plus de 6 000 cas confirmés dans le pays étaient importés des États-Unis. Les États-Unis ignorent la science et suivent leur propre voie, menaçant gravement la vie et la santé des peuples d'autres pays.
Ignorant l'opposition de la communauté internationale et ne prêtant aucune attention à la moralité internationale, les États-Unis ont aussi rapatrié à grande échelle des immigrants illégaux, entraînant une intensification de l'épidémie dans les pays d'Amérique latine. Selon CNN, citant le département de patrouille frontalière du département américain de la sécurité intérieure, les États-Unis ont rapatrié 160 000 immigrants illégaux de mars à septembre 2020. Les médias américains indiquent que de nombreux immigrants illégaux en Amérique centrale ont de mauvaises conditions de vie dans des abris et n'ont pas été isolés avant d'être rapatriés et n'ont pas non plus été testés à la COVID-19. Le Guatemala, la Jamaïque, le Mexique, Haïti et d'autres pays ont signalé qu'un grand nombre de cas confirmés ont été trouvés chez des personnes rapatriées des États-Unis. En avril 2020, le ministre de la Santé du Guatemala a déclaré que 50 à 75% du personnel rapatrié des États-Unis avait été diagnostiqué, ce qui représente 19% du nombre total de personnels confirmés dans le pays. Parmi eux, 71 personnes ont été testées positives aux acides nucléiques dans un vol transportant 76 personnes rapatriées des États-Unis le 13 avril seulement. Le 8 avril 2020, plus de 60 institutions, dont l'Institut latino-américain de Washington, ont publié une déclaration commune condamnant les États-Unis pour avoir intensifié le rapatriement des immigrants illégaux à un moment où les voyages dans le monde étaient restreints et où des politiques de contrôle strictes étaient mises en œuvre partout, mettant le monde à risque. Le New York Times a souligné que les États-Unis avaient envoyé des dizaines de milliers de personnes qui pourraient avoir été infectées par COVID-19 dans des pays pauvres incapables d'y faire face, faisant des États-Unis un pays « exportateur du virus ».
Le personnel américain en poste à l'étranger considère la santé des autres comme quantité négligeable et ne respecte pas les réglementations locales de prévention des épidémies, ce qui entraîne la propagation du virus. Début juillet 2020, le gouverneur de la préfecture d'Okinawa au Japon a tenu une conférence de presse et a déclaré que des dizaines de soldats de la base militaire américaine qui s'y trouve avaient été diagnostiqués, mais l'armée américaine a refusé de prendre des mesures d'isolement et un grand nombre de soldats ont même quitté la base pour aller se détendre à l'extérieur. Le 31 mai 2021, un grand nombre de militaires américains stationnés en Corée du Sud sont partis en vacances, se sont rassemblés sur la plage de Busan et ont refusé de porter des masques, provoquant le mécontentement de la population locale. Certains médias américains ont souligné que cette pratique du Pentagone s'apparentait à « répandre le virus partout ».
Un grand nombre de faits montrent que les États-Unis sont la plus grosse pierre d'achoppement dans le processus mondial de lutte contre l'épidémie. La politique irresponsable des États-Unis revient à empoisonner le monde entier, et certains pays en développement ont encore plus souffert. Et malgré tout, actuellement, tout en politisant le grave problème scientifique du traçage du virus, les États-Unis essaient de prétendre être responsables et tentent de tromper la communauté internationale par des démonstrations hypocrites afin d'atteindre leur objectif politique inavoué.
Les actes parlent plus que les mots. La vraie responsabilité doit et ne peut se refléter que dans l'action. Selon les dernières statistiques en temps réel des États-Unis, le 23 juillet, le nombre de cas confirmés aux États-Unis a augmenté de près de 120 000, le plus élevé depuis plus de cinq mois. Les États-Unis n'ont pas le droit de parler de mots comme « responsabilité » et « sauver des vies » avant d'avoir réussi à contrôler efficacement leur situation épidémique, ils doivent arrêter « l'égoïsme anti-épidémie » et de véritablement faire preuve de transparence et de répondre aux doutes de la communauté internationale.
(Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)
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