Dernière mise à jour à 09h24 le 16/10
L'Equateur a indiqué mercredi qu'il cherchait toujours à trouver un accord juridique avec la Royaume-Uni afin de régler le cas Julian Assange, fondateur de Wikileaks, qui, recherché par la justice suédoise, est réfugié depuis 2012 à l'ambassade équatorienne à Londres où l'asile politique lui a été accordé.
"Nous discutons avec la Suède et espérons conclure rapidement un accord d'assistance pénale internationale", a dit le ministre équatorien des Affaires étrangères, Ricardo Patino, dans une interview télévisée.
L'Australien de 44 ans est accusé de viol en Suède, ce qu'il dément, mais refuse de s'y rendre de peur d'être extradé vers les Etats-Unis. Ces derniers l'accusent notamment d'espionnage pour avoir révélé en 2010 des centaines de milliers de documents confidentiels et jugés embarrassants pour la diplomatie américaine.
La justice suédoise souhaite pouvoir l'interroger, mais Julian Assange redoute d'être immédiatement interpellé dès sa sortie de l'ambassade. "Le Royaume-Uni devrait nous donner un sauf-conduit pour que Julian Assange puisse bénéficier du droit d'asile que nous lui avons octroyé, comme il se doit dans une relation internationale respectueuse", a plaidé M. Patino.
Mais les autorités britanniques, bien qu'elles aient levé lundi leur surveillance 24 heures sur 24 de l'ambassade, ont assuré ne pas avoir changé de position, promettant de l'arrêter séance tenante dès sa sortie de la chancellerie.
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