Dernière mise à jour à 08h17 le 23/05
Le président bolivien Evo Morales a demandé vendredi à l'Organisation des Etats américains (OEA) de ne pas devenir un instrument d'ingérence pour les Etats-Unis.
"Le secrétaire général Luis Almagro ne peut pas convertir l'OEA en un instrument d'ingérence américain. C'est un acte de trahison à la grande patrie", a écrit le président sur son compte Twitter officiel.
Cette déclaration fait suite à ses propos tenus jeudi dans lesquels M. Morales avait fustigé les actions de M. Almagro contre le gouvernement du président vénézuélien Nicolas Maduro, dont le pays est en proie à des troubles politiques, certains groupes d'opposition faisant campagne pour le renverser.
M. Morales a souligné que toute intervention des Etats-Unis contre le Venezuela sous prétexte de défendre les droits de l'Homme représentera un "pillage de ressources naturelles".
Le chef de l'OEA a fermement rejeté les critiques selon lesquelles il n'est qu'un simple outil pour l'agence du renseignement américain (la CIA), accusation portée par le président Maduro.
Dans une lettre publiée mercredi sur le site officiel de l'OEA, M. Almagro indique : "Je ne suis pas un agent de la CIA. Et votre mensonge, même s'il est répété mille fois, ne sera jamais vrai".
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