Dernière mise à jour à 14h35 le 03/06
La Russie ne fournira pas à l'Iran d'armes offensives telles que des chars d'assaut ou des bombardiers, en accord avec les sanction du Conseil de sécurité de l'ONU contre l'Iran, a déclaré vendredi Sergueï Chemizov, PDG de Rostec State Corporation.
"Etant donné qu'il y a des sanction du Conseil de sécurité de l'ONU contre l'Iran, la Russie ne fournira que des armes non-couvertes par ces sanctions, par exemple le système de défense anti-missile S-300. Nous n'avons jamais violé d'accords internationaux et ne le ferons jamais", a indiqué M. Chemizov dans une interview avec le journal russe Kommersant.
La Russie et l'Iran ont déjà signé un contrat pour l'envoi de systèmes de défense anti-missile S-300. La première cargaison a déjà été livrée.
M. Chemizov a ajouté que la Russie enverra quatre divisions de S-300 à l'Iran d'ici la fin de l'année.
Le système S-300 a été conçu pour la défense aérienne de bases militaires, de grands complexes industriels et administratifs, ainsi que pour surveiller l'espace aérien contre des appareils ennemis.
Rostec est une entreprise publique russe établie en 2007 pour promouvoir le développement, la production et l'exportation de produits industriels de haute technologie pour les secteurs civil et de la défense.
La Chine compte plus de milliardaires que les États-Unis
Une fillette de sept ans s'occupe de ses grands-parents malades dans un petit village isolé
Gros porteur chinois : le C919 quitte la ligne d'assemblage
Le premier avion électrique chinois prêt pour le décollage
Les entreprises ont versé 1 150 milliards de Dollars de dividendes au niveau mondial en 2015
La France a livré l'Harmony of the Seas, le plus gros navire de croisière jamais construit au monde
La marine américaine va recevoir son plus gros et plus moderne destroyer lance-missiles
Les cinq chars d'assaut les plus chers du monde
Xi Jinping fixe les objectifs pour les sciences et les technologies du pays
UE : les économistes contre l'excès des mesures anti-dumping
Huawei renforce sa présence au Royaume-Uni
Comment le Premier ministre chinois souhaite faire renaître la confiance de l'investissement privé
Nous suivre sur WeChat