Pour la troisième année consécutive, l'Université des sciences et technologies de Hong Kong (HKUST) est en tête du classement mondial des universités « QS », suivie par l'Université de Hong Kong (HKU) et l'Université nationale de Singapour (NUS) qui sont toutes deux à la deuxième place. L'Université chinoise de Hong Kong (CUHK) est tombée à la septième place, contre la cinquième l'année dernière, occupée cette l'année par une nouvelle arrivée, l'Université de Pékin, qui est devenue pour la première fois l'une des cinq meilleures université d'Asie.
Il s'agit de la cinquième enquête annuelle consécutive menée par la compagnie britannique de recherche d'enseignement supérieur Quacquarelli Symonds (QS) auprès des universités asiatiques, en invitant 28 000 universitaires et 7 700 employeurs à évaluer la réputation des institutions. Des facteurs tels que le ratio des nombres d'étudiants et de professeurs, le nombre d'articles publiés, la fréquence des articles cités, l'internationalisation et le nombre d'élèves participant à des échanges à l'étranger... ont été pris comme référence pour établir le classement.
A part l'Université de Pékin qui a obtenu un bon résultat, d'autres universités de la partie continentale de Chine ont eu également de belles performances : l'Université Tsinghua (14e place), l'Université Fudan (23e), l'Université des sciences et technologies de Chine (26e), l'Université Jiaotong de Shanghai (27e), l'Université du Zhejiang (28e), l'Université de Nankin (29e).
D'après Ben Sowter, directeur de l'enquête à QS, 17% des 200 meilleures universités du monde viennent d'Asie.
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