Dernière mise à jour à 15h10 le 11/03
1/7Le 6 mars 2016, dans les locaux de l’Institut international de sécurité de Tianjiao, l’instructeur «Frère Noir» (à gauche) participe à une formation de combat.
2/7Une étudiante de 20 ans participe à un entraînement de force physique. Diplômée d’une université normale, elle s’est donnée le défi de renforcer ses capacités physiques.
3/7Trois élèves s’entraînent avec des pneus pour améliorer la force.
4/7Entraînement pour augmenter la capacité pulmonaire.
5/7Un entraîneur (à gauche) apprend aux élèves à jouer au golf. La formation comprend également le protocole, la culture alimentaire, l'art et la photographie, pour faciliter l’intégration des élèves dans le milieu professionnel.
6/7Après un entraînement, un étudiant se voit attaquer sur le visage.
7/7Deux étudiantes en plein combat. Les jeunes femmes doivent recevoir une formation de la même intensité que leurs collègues masculins.
Le 6 mars 2016, dans les locaux de l'Institut international de sécurité de Tianjiao, l'instructeur «Frère Noir» (à gauche) participe à une formation de combat. Champion national de Muay Thai, il a d'abord étudié dans cette école, puis travaillé pendant trois ans comme garde personnelle.
Le 1er mars 2016, l'école a inauguré son 21e camp d'entraînement à Tianjin. Quatre vingt participants venant de plusieurs provinces du pays se sont réunis pour recevoir un apprentissage de 28 jours. Ces élèves, âgés entre 17 et 48 ans, sont d'anciens combattants, chefs de sécurité d'entreprises, ou secrétaires de sociétés. Ils se sont engagés dans cette formation de type «diable» pour réaliser leur rêve de devenir garde du corps.
Le fondateur de l'institut, Chen Yongqing, est un ancien combattant. En créant cet établissement, il a voulu apporter une solution au problème de l'emploi des vétérans. Aujourd'hui, sa structure met en place deux types de programmes gratuits pour les professionnels et amateurs, permettant à plus de gens ordinaires d'accéder à ce métier.