Dernière mise à jour à 11h20 le 02/05
Tianjin a commencé, dimanche, à faire payer les usines pour leurs émissions de composés organiques volatils (COV), facteur majeur de la pollution de l'air.
Ces frais sont appliqués aux entreprises pétrochimiques et à celles travaillant dans l'emballage et l'impression de cette ville septentrionale de la Chine.
Les frais standards sont de 10 yuans (1,5 dollar) par kilo, mais les autorités accorderont une réduction de 50% aux entreprises dont les émissions sont inférieures à la moitié de la limite nationale. Ces frais seront néanmoins triplés pour les entreprises dépassant à la fois la limite du volume et celle de la densité des émissions de COV.
Ces frais sont les plus récents imposés par une ville chinoise à des entreprises polluantes. Beijing a multiplié par 14 à 15 ses frais pour les polluants allant du dioxyde de soufre aux oxydes d'azote, en passant par l'azote ammoniacal, par rapport à 2014, dans l'espoir de rendre la pollution environnementale trop coûteuse pour les usines.
Ces efforts ont porté leurs fruits. Les émissions de dioxyde de soufre et d'oxydes d'azote ont respectivement chuté de 48,3% et 47,9% à Tianjin sur un an, a indiqué Jia Chunning, un responsable de l'organe de surveillance de l'environnement de Tianjin.
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