Dernière mise à jour à 08h04 le 26/04
Un traité international destiné à réduire les émissions nocives de mercure a été soumis lundi au Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale (APN, parlement chinois) pour approbation.
La Convention de Minamata sur le mercure a été soumise par le Conseil des Affaires d'Etat à la session bimestrielle du Comité permanent de l'APN, qui se déroule de lundi à jeudi.
Selon un rapport de la Commission des affaires étrangères de l'APN, l'approbation de cette convention aidera à protéger la santé humaine et l'environnement contre les effets nocifs du mercure, à sensibiliser davantage le public à la prévention de la pollution au mercure et à accélérer la restructuration industrielle.
Ce traité international juridiquement contraignant a été signé par l'ingénieur en chef du ministère de la Protection de l'environnement, Wan Bentai, au nom de la Chine, le 10 octobre 2013 à Kumamoto, au Japon.
Ce traité porte le nom de la ville japonaise de Minamata, où le méthylmercure en provenance des eaux usées industrielles de la ville a fait des centaines de morts et de nombreux handicapés dans les années 1950.
La Chine, premiers producteur, utilisateur et pays émetteur de mercure au monde, s'engage depuis longtemps dans la lutte contre la pollution au mercure pour protéger la santé et l'environnement.
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