Chine : le Tibet termine l'élaboration de ses réseaux de surveillance environnementale

La région autonome du Tibet (sud-ouest de la Chine) a terminé l'élaboration de ses réseaux de surveillance de l'eau, de l'air et du sol et a amélioré l'application de la loi pour mieux protéger l'environnement, a déclaré un responsable local.

Vingt-trois stations automatiques de surveillance de la qualité de l'air ont été établies dans les villes régionales principales et le long du chemin de fer Qinghai-Tibet, a annoncé Cering Yangzom, chef adjoint du département de la protection environnementale du Tibet.

La région a également choisi 194 sites de surveillance pour les eaux de surface, 84 pour la qualité de l'air et 110 pour les sources d'eau potable, a-t-il ajouté.

La station de surveillance environnementale régionale a passé avec succès l'évaluation nationale.

Pour renforcer la surveillance, la région a lancé des plans pour le traitement et la prévention de la pollution de l'air et de l'eau, et finira bientôt le projet d'un plan pour la prévention de la pollution du sol.

La région a également établi un réseau de surveillance environnementale à quatre niveaux pour améliorer l'application de la loi, selon Cering Yangzom.

La région du plateau est l'une des zones possédant la meilleure qualité environnementale dans le monde. Les projets avec une demande énergétique élevée, une forte pollution et des émissions importantes sont interdits.