Monsieur Jo Lugalabam, directeur adjoint de la Radio nationale tanzanienne a exprimé ses sentiments après avoir vu La belle époque d'une belle-fille : « La première réaction de beaucoup de téléspectateurs a été : Oh, c'est ainsi que vivent les Chinois ! Malgré nos différences culturelles, il y a beaucoup de points communs dans les relations et conflits entre belles-filles et belles-mères. C'est pour cette raison que cette série télévisée chinoise a connu un grand écho auprès des téléspectateurs tanzaniens. » Fendi Bongo, l'acteur kenyan qui a assuré le doublage du père de l'héroïne, a estimé que si la série chinoise a attiré beaucoup de téléspectateurs africains, c'est parce qu'il y a pas mal de points communs entre les structures familiales et les petits problèmes quotidiens dans les pays africains et en Chine.
« Au final, nos cultures se ressemblent plus ou moins. » En Tanzanie, les grandes familles sont plus nombreuses, les parents vivent sous le même toit que leurs enfants, avec même des parents éloignés. Comme des téléspectateurs tanzaniens l'ont dit, il y a aussi chez eux des belles-mères méchantes et des belles-mères au grand cœur, des belles-filles affreuses et des belles-filles très gentilles.