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Le piège pour la classe moyenne chinoise (2)

( le Quotidien du Peuple en ligne )

21.05.2013 à 13h55

Han, âgé de 32 ans, a acheté son appartement de 90 mètres carrés en 2008.

Dans sa communauté en banlieue, Il n'y a pas de grand hôpital ou de centre commercial, et il doit conduire une heure chaque jour pour se rendre à son travail dans le centre-ville. Pourtant, il considère sa maison comme son meilleur investissement à Beijing. Il l'a acheté pour environ 900 000 yuans (124 000 dollars) en 2008, et aujourd'hui, des agents immobiliers sont prêts à lui en offrir 2 millions de yuans.

«Je suis vraiment chanceux par rapport à beaucoup de jeunes de mon âge, a-t-il confié. Nos parents avaient des économies et ils ont été généreux dans leur soutien, sinon ma vie à Beijing serait totalement différente et plus stressante.»

Certains de ses voisins ont vendu leurs maisons de 100 mètres carrés et ont acheté un appartement de 40 mètres carrés dans le centre-ville pour pouvoir choisir une meilleure école.

Beaucoup ont pris des mesures encore plus drastiques. Qian a expliqué qu'au moins cinq de ses collègues sont quitté Beijing dans les deux dernières années parce qu'ils ne pouvaient pas se permettre d'acheter une maison dans la capitale.

« L'obsession pour posséder sa propre maison est écrasante. Si une personne qui a plus de 30 ans continuent de vivre dans une maison de location, elle est simplement étiquetée comme ayant connu un échec.»

En ajoutant, que certains allaient même jusqu'à simuler un divorce pour pouvoir acheter une seconde maison, pour faire face aux règles strictes qui régissent maintenant l'achat et la possession d'une deuxième propriété, que Beijing et plusieurs autres grandes villes ont imposé pour refroidir le marché de l'immobilier.

La politique exige que les résidents sans hukou de Beijing ne peuvent pas acheter plus d'une maison.

Bien que leur logement actuel devient étroit, le couple a retardé leur projet d'acheter une maison plus grande.


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