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L'Internet d'un Starbucks plus sûr que le Pentagone (2)

( le Quotidien du Peuple en ligne )

23.09.2013 à 17h09

Le Procureur Ed Ryan s'est moqué de l'idée que l'utilisation du Wi-Fi d'un Starbucks était plus sûre que le réseau du Pentagone.

«Vous n'êtes pas préoccupée par le serveur au tablier vert regardant par-dessus l'épaule de la perso ne qui saisit ces courriels» a demandé Ryan à Mayberry.

Mayberry a expliqué qu'à la publication de son ordonnance au mois d'avril, «Cela aurait pu c'est vrai nous arrêter», mais a reconnu qu'elle pensait que ces problèmes seraient résolus très rapidement.

Au mois d'avril une audience a été annulée, et les procureurs ont suggéré à la défense de se servir des problèmes de réseau comme une excuse pour de nouveaux retards. Un surveillant de la logistique a témoigné que la maintenance du système pourrait prendre jusqu'à 111 jours une fois que le Pentagone avait approuvé le contrat et le financement.

«Le financement peut être un autre problème qui pourrait être réglé dans les 13 jours», a déclaré le juge, le colonel James Pohl.

Le bureau du budget de la Maison Blanche a averti les agences américaines de se préparer à une possible fermeture du gouvernement fédéral si le Congrès dans la discorde ne parvenait pas à un accord pour financer la prochaine année fiscale qui commence le 1er octobre .

Certains des problèmes liés à Internet ont été blâmés en raison d'un manquement de protection dans le système de courrier électronique. D'autres ont été imputés à une tentative de reproduire le travail des avocats sur deux réseaux distincts, l'un dans la région de Washington et l'autre à distance depuis la base de Guantanamo.

Le superviseur de la technologie Internet, Paul Scott Parr, a tenté d'expliquer en termes simples ce qui avait mal tourné. Un «arrêt brutal s'est produit lors de l' arrêt du serveur, alors que le programme de réplication était toujours en marche, a-t-il noté.

Les sauvegardes qui sont censées avoir lieu chaque jour, n'ont pas été faites depuis plus de trois mois, a déclaré Parr. En ajoutant que Sept gigaoctets de données précédemment décrites comme «perdues» ont simplement été «égarées» et ont pour la plupart été restaurées.


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