Dernière mise à jour à 10h59 le 08/08
Des dizaines de personnes ont été tuées dimanche à l'aube lorsque des hommes armés non identifiés ont ouvert le feu dans une église catholique de l'Etat d'Anambra, dans le sud-est du Nigeria, a indiqué un témoin.
Joint par Xinhua au téléphone, ce témoin a indiqué que des hommes armés sont entrés dans l'église catholique Saint Philips dans la région d'Ozubulu lors de la messe de 5h45. Ils ont alors cherché un homme en particulier et l'ont abattu avant de tirer sur la foule, qui comptait plus de 100 personnes.
Des dizaines de personnes ont été tuées dans l'église et plusieurs autres ont succombé à leurs blessures sur le chemin du Centre hospitalier universitaire de Nnamdi Azikiwe de Nnewi, deuxième plus grande ville de l'Etat.
Le chef de la police de l'Etat, Garba Umar, a confirmé l'attaque, sans toutefois révéler le bilan exact des victimes. Il a déclaré à la presse que davantage de détails seraient rendus publics à l'issue d'une enquête.
Selon un journaliste de Xinhua présent dans l'Etat, l'identité des agresseurs et leurs motivations sont encore inconnues.
Le gouverneur de l'Etat, Willie Obiano, a appelé la population au calme lors d'une visite sur les lieux de l'attaque.
Il a condamné l'attaque et promis de veiller à ce que les coupables soient traduits en justice.
Le café, l'or noir de l'économie burundaise
Les investisseurs chinois en quête de bâtiments emblématiques à l'étranger
L'UE bientôt dépassée par les Etats-Unis en tant que premier partenaire commercial de la Chine
Chine : poursuite de l'expansion de l'activité manufacturière en juillet
Le centre subsidiaire de Beijing, véritable vivier d'emplois
Un nouveau prototype de monorail dévoilé
Recrutement de China Eastern Airlines à Rome
Deux sociétés chinoises signent un accord pour un câble sous-marin de 6 000 km
Paiement numérique : les Pékinois, les plus à la page
Le nouvel aéroport international de Beijing en construction
La Chine s’invite à l’Expo universelle d’Astana
Escale inaugurale d'un porte-conteneurs chinois
Des médecins volontaires soignent les Tibétains
Beijing : pour une rénovation ou une destruction