Selon les dernières informations, Air France-KLM aurait imposé des conditions drastiques quant à sa participation à l'augmentation du capital du transporteur italien Alitalia, en exigeant notamment la suppression de 5 000 postes chez la compagnie aérienne italienne, détenue à 25% par le groupe franco-néerlandais.
Air France-KLM aurait par ailleurs demandé la démission de l'actuel conseil d'administration d'Alitalia, et a fait part d'un nouveau plan de restructuration visant à réduire de 70 à 80% l'endettement de la compagnie de près d'un milliard d'euros.