Dernière mise à jour à 16h03 le 11/05
Il s'agit d'une première mondiale. En Suisse, une ville va utiliser le bitcoin comme moyen de paiement.
En début de semaine, Craig Wright, un informaticien, entrepreneur et inventeur australien, a révélé à la télévision être l'homme derrière le pseudonyme Satoshi Nakamoto. C'est sous cette identité qu'a été créée la monnaie électronique bitcoin en 2008. Est-il l'homme qui se cache derrière ce pseudonyme ? Toujours est-il que ce moyen de paiement en ligne connaît un succès fulgurant depuis des années. Au point que la ville suisse Zug a décidé de l'accepter dès le 1er juillet.
Les habitants pourront s'acquitter au guichet de la ville de sommes allant jusqu'à 200 francs suisses (180 euros) en payant en bitcoins. Ce procédé sera dans un premier temps réservé aux services publics, dont les transports.
« Nous voulons mettre à l'œuvre notre appétence pour les nouvelles technologies et cela passe par le fait de se faire nos propres expériences du bitcoin », a dit le maire de Zug, Dolfi Müller, dans un communiqué.
Les locaux pourront tester le bitcoin jusqu'en fin 2016, et les autorités feront le bilan de cette expérience.
Actuellement, il y a environ 15,5 millions de bitcoins en circulation. Chacun d'eux a une valeur d'environ 449 dollars (394 euros).
(Source : AFP)
La Chine compte plus de milliardaires que les États-Unis
Une fillette de sept ans s'occupe de ses grands-parents malades dans un petit village isolé
Gros porteur chinois : le C919 quitte la ligne d'assemblage
Le premier avion électrique chinois prêt pour le décollage
Les entreprises ont versé 1 150 milliards de Dollars de dividendes au niveau mondial en 2015
Le quotidien des enfants en Syrie
Exercices en Mer de Chine du Sud pour la marine chinoise
Les cinq chars d'assaut les plus chers du monde
Intel intensifie sa campagne de promotion des caméras 3-D en Chine
Protection du patrimoine culturel, une priorité pour la Chine
La Chine va constituer sa première équipe d'aviation en Antarctique
Uber se tourne vers les petites villes chinoises pour concurrencer Didi
Une nouvelle base de données pour les talents étrangers
Terrain toxique dans le Jiangsu : 500 étudiants en mauvaise santé