Dernière mise à jour à 11h18 le 10/06
La filiale de la société américaine Uber, Uber France a été condamnée jeudi par la justice française à une amende de 800,000 euros, dont la moitié avec sursis, pour la mise en service et la promotion de son service controversé UberPop.
Deux responsables d'Uber, qui sont chargés d"affaires de la société en Europe de l'Ouest et en France, ont également été respectivement condamnés à 30.000 euros et 20.000 euros d'amende, dont la moitié avec sursis aussi.
Selon la justice française, les prévenus ont été jugés coupables pour "organisation illégale d'un système de mise en relation de clients avec des personnes qui se livrent au transport routier de personnes à titre onéreux", et pour avoir entraîné une "durable désorganisation" du secteur.
Cependant, la justice française a rejeté la demande des procureurs, qui souhaitaient interidre aux deux hommes de gérer une compagnie pendant cinq ans, alors que les amendes sont aussi largement inférieures à celles réclamées par l'industrie du taxi française.
Un porte-parole d'Uber France a annoncé le même jour que la société a été "déçu par la décision (de la justice française)" et allait faire "immédiatement" appel de la condamnation, selon la presse française.
La Chine compte plus de milliardaires que les États-Unis
Une fillette de sept ans s'occupe de ses grands-parents malades dans un petit village isolé
Gros porteur chinois : le C919 quitte la ligne d'assemblage
Le premier avion électrique chinois prêt pour le décollage
Les entreprises ont versé 1 150 milliards de Dollars de dividendes au niveau mondial en 2015
La France a livré l'Harmony of the Seas, le plus gros navire de croisière jamais construit au monde
La marine américaine va recevoir son plus gros et plus moderne destroyer lance-missiles
Les cinq chars d'assaut les plus chers du monde
Xi Jinping fixe les objectifs pour les sciences et les technologies du pays
UE : les économistes contre l'excès des mesures anti-dumping
Huawei renforce sa présence au Royaume-Uni
Comment le Premier ministre chinois souhaite faire renaître la confiance de l'investissement privé
Nous suivre sur WeChat