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Le soutien des États-Unis à la violence à Hong Kong ne mérite que le mépris

le Quotidien du Peuple en ligne | 02.12.2019 17h05

Les États-Unis ont signé le « Projet de loi de 2019 sur les droits et la démocratie à Hong Kong », ignorant les faits, inversant sciemment le noir et le blanc et soutenant de manière flagrante les criminels violents. Ce genre de comportement pervers de la part de certains politiciens américains ne fera que susciter une vaste indignation de tout le peuple chinois, y compris des compatriotes de Hong Kong, et ne fera qu'exposer le hideux visage de leur hypocrisie, de leur égoïsme et de leur hégémonisme à la face du monde entier.

Les crimes violents commis à Hong Kong depuis plus de cinq mois ne sauraient en aucun cas être glorifiés ou maquillés par la protection partielle de certains pays. Des criminels violents se sont rassemblés illégalement. Ils ont attaqué des assemblées législatives, des ministères, des équipements publics, incendié des centres commerciaux, des banques et des campus, attaqué des personnes aux opinions divergentes, violé la liberté d'expression et le respect des droits de l'homme et même tué des citoyens innocents. Leurs exactions ont atteint un point d'épouvante et d'outrage jamais vu.

Ces actes criminels violents qui portent atteinte à l'état de droit et à l'ordre public ont manifestement un caractère terroriste. Hong Kong, l'une des villes les plus sûres au monde, est devenus un endroit où les bombes d'essence provoquent des destructions par les flammes, où le campus de l'université, un lieu d'enseignement et de lumières, est devenu un endroit où des brutes se sont retranchées, et dont ils ont fait un atelier de fabrication d'armes meurtrières, portant gravement atteinte aux libertés et droits fondamentaux de la population de Hong Kong. Selon les statistiques, à la fin du mois d'octobre, plus de 460 feux de circulation à Hong Kong avaient été endommagés par les émeutiers, 46 000 mètres de balustrades avaient été démolis et environ 2 900 mètres carrés de dalles de trottoir avaient été arrachées. 145 stations de métro et de tramways étroitement liées à la vie et au travail des citoyens de Hong Kong ont été endommagés, de même que les installations d'accès à l'intérieur des gares et les portes d'accès ont été endommagées environ 1 600 fois, les caméras de vidéosurveillance à l'intérieur des gares ont été endommagées environ 1 100 fois et plus de 300 itinéraires de bus privés ou lignes de minibus et toutes les lignes de tramway ont dû être déviées ou arrêtées en raison de blocages de routes ou d'émeutes... Un article du site britannique « The Economist » a indiqué que l'escalade de la violence avait plongé Hong Kong dans un abîme. Même certains médias américains ont bien dû admettre que les manifestants de Hong Kong deviennent « de plus en plus violents et laids ». « Le chaos a sérieusement porté atteinte à la gouvernance économique et sociale de Hong Kong », « Ce qui se passe à Hong Kong n'est plus de la revendication, mais une destruction de sa propre maison », « Aucun pays au monde ne saurait tolérer de tels crimes violents » ... partout dans le monde, de nombreuses personnes éclairées ont fait part de leur affliction et ont exprimé leur choc et leur colère face à ces crimes violents.

Le projet de loi sur Hong Kong relatif aux États-Unis déforme sérieusement les faits, est extrêmement dur et particulièrement sinistre. Lorsque des actes criminels violents sont décrits comme des « scènes magnifiques » et que l'application de la loi par une police qui fait preuve d'une retenue extrême est qualifiée de « répression violente », on ne peut s'empêcher de se demander quelle est la conscience de certains politiciens américains. Qu'est-ce que la nature humaine ? Certains hommes politiques américains déclarent à haute voix que les États-Unis « appliquent des normes relatives aux droits de l'homme applicables dans le monde » et considèrent le projet de loi relatif à Hong Kong comme « un engagement en faveur de la démocratie, des droits de l'homme et de l'état de droit ». Mais en fait, de quel droit les États-Unis, qui eux-mêmes ont de graves problèmes de droits de l'homme, peuvent-ils se prévaloir pour se qualifier ainsi de « tuteurs » ou de « professeur bienveillant »? Ils ont utilisé un projet de loi ridicule pour abuser le public en essayant de renforcer la plate-forme des forces anti-chinoises et anti-hongkongaises, et en exposant pleinement la nature de leur façon de jouer avec le double standard des droits de l'homme et en piétinant les droits de l'homme.

Le bien et le mal ne peuvent pas être inversés, et la justice est libre. Hong Kong appelle de ses vœux « la lutte contre la violence, la paix, le soutien de la police et la sécurité ». Des Hongkongais de tous les milieux ont franchi des obstacles en différents endroits. Des groupes de citoyens de Hong Kong ont exhorté les tribunaux à punir rapidement les émeutiers. Tout cela souligne les fortes exigences de tous les milieux de la société à Hong Kong et leur juste appel à mettre fin à la violence et à la rébellion.

Hong Kong, c'est la Chine. Les affaires de Hong Kong sont purement des affaires intérieures, et les Chinois ont la capacité de bien gérer les affaires de Hong Kong. Nous appliquerons résolument la politique « Un pays, deux systèmes », soutiendrons fermement la cheffe de l'exécutif dans sa volonté de diriger le gouvernement de la RAS de Hong Kong à gouverner conformément à la loi, soutiendrons fermement la police de Hong Kong dans l'application stricte de la loi et soutiendrons fermement les autorités judiciaires de Hong Kong pour qu'elles punissent les criminels violents conformément à la loi. Toute tentative visant à saper la prospérité et la stabilité de Hong Kong et à entraver le développement de la Chine sera inévitablement vouée à l'échec !

(Rédacteurs :Yishuang Liu, Xiao Xiao)
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