Dernière mise à jour à 16h08 le 14/08
Depuis un certain temps, des politiciens américains comme le secrétaire d'État Mike Pompeo ont semé les rumeurs sans aucune honte et n'ont cessé de pointer du doigt les affaires du Xinjiang et de Hongkong. Il a insidieusement étiqueté les opérations normales des entreprises chinoises comme "soutien matériel à des violations des droits de l'homme". Mais les gens comprennent déjà que des politiciens comme Mike Pompeo lancent la campagne de dénigrement et les rumeurs pour tenter de cacher les vices de la société américaine et de faire porter à d'autres la responsabilité d'une gouvernance lacunaire. Ce qu'ils ignorent, c'est que comme la justice prévaudra, plus ils tentent de se faire passer pour des défenseurs des droits de l'homme, plus les gens voient leur vrai visage hypocrite et laid.
Le nombre de cas confirmés de COVID-19 aux États-Unis a dépassé 5 millions. (Source : CNN)
"La carte des droits de l'homme" jouée par certains politiciens américains est depuis longtemps le synonyme du "horrible double standard américain". À l'heure actuelle, le nombre de cas confirmés de COVID-19 aux États-Unis a dépassé 5 millions, avec plus de 160 000 décès. Le droit à la vie et à la santé du peuple américain est menacé sérieusement, alors que l'indifférence de certains politiciens américains a indigné le monde. Selon le journal britannique The Independent, certains politiciens américains parlaient tout le temps des droits de l'homme, mais ils ont oublié leurs propres obligations en la matière en restant ouvertement indifférents à la vie du people. Durant l'épidémie, le taux de décès des Afro-Américains est 2,5 fois celui des Blancs, ce qui a révélé au grand jour l'inégalité raciale depuis longtemps aux États-Unis. Au Michigan, les résidents noirs ne représentent que 14% de la population de cet état tandis que leur décès représente 39% du décès total. Gretchen Whitmer, gouverneure du Michigan a dit en toute franchise que l'épidémie "a prouvé et a mis en évidence la nature fatale des inégalités existantes provoquées par le racisme systémique". La violence policière aux États-Unis a été la cause du décès de George Floyd. La 43e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU a adopté une résolution condamnant fermement les pratiques raciales discriminatoires et violentes des forces de l'ordre contre les Africains et les personnes d'origine africaine aux États-Unis. Comme l'a dit le site américain Politico, quand il s'agit des droits de l'homme, les gens se concentrent de plus en plus sur les États-Unis, qui sont "le méchant", et non pas "le héros".
Des personnes clairvoyantes dans le monde ont déjà déclaré que "les États-Unis étaient le pays le plus belliqueux du monde" et qu'ils ont causé le déplacement des dizaines de millions de personnes qui ont fui "l'enfer" causé par l'ingérence des politiques américaines dans les affaires extérieures. Les États-Unis n'ont toujours pas ratifié les conventions internationales essentielles sur les droits de l'homme, comme le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et la Convention relative aux droits de l'enfant. Les États-Unis se sont retirés du Conseil des droits de l'homme de l'ONU en 2018. Cette année, le retrait des États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au moment même de la propagation de la pandémie a été réprimandé par l'opinion internationale, laquelle le considère comme "une trahison envers l'humanité". On pose la question : quand certains politiciens américains n'accordent pas la moindre attention à la protection des droits de l'homme des citoyens américains qui "ne pouvaient pas respirer", Mike Pompeo a déclaré sans honte que "la protection des droits de l'homme révélait la conscience d'un pays". Le contraste criant montre justement "l'hypocrisie et le double standard" des politiciens comme Mike Pompeo sur les droits de l'homme.
Le nombre de nouveaux cas chaque jour n'a cessé d'augmenter aux États-Unis. (Source: le New York Times)
Il faut dire que certains politiciens américains pratiquent obstinément le double standard et n'hésitent pas à instrumentaliser politiquement "les droits de l'homme" pour étouffer d'autres pays, ce qui s'écarte complètement des principes de droits de l'homme. Robert Malley, président de l'International Crisis Group, a dit clairement que "ce que font les États-Unis va à l'encontre de ce qu'ils disent en ce qui concerne les droits de l'homme" et "qu'ils se servaient des droits de l'homme comme purement monnaie de transaction". Sarah Snyder, historienne des droits de l'homme de l'American University, s'est dit très déçue vu que certains politiciens américains n'ont aucune crédibilité à l'international s'agissant des droits de l'homme. Elle les a critiqués parce "qu'ils ont refusé d'accepter la demande que les États-Unis doivent honorer effectivement leurs obligations en matière de droits de l'homme et respecter les conventions internationales".
Tout le monde connaît déjà l'intention sournoise de certains politiciens américains qui ont joué "la carte des droits de l'homme". Selon Stephen Roach, chercheur senior de l'université Yale, "ils ont fondé tout leur argument sur la théorie du complot et le manque d'analyse des faits". Michael D.Swaine, chercheur senior de Carnegie Endowment for International Peace, a dit que les propos de Mike Pompeo "ont montré l'opportunisme politique et une frénésie idéologique" et "qu'il était l'un des pires secrétaires d'État américains et qu'il le prouvait chaque jour avec ses propres propos et comportements". Le journal britannique The Guardian a dit que Mike Pompeo "était une personne très dangereuse" et "qu'il alimentait le préjudice, la peur et la division".
La pratique est le seul critère pour tester la vérité. Les droits de l'homme les plus importants, c'est une vie heureuse du peuple. Sous la direction du Parti communiste chinois, le PIB par personne de la Chine est passé de moins de 200 dollars il y a plus de 40 ans à plus de 10 000 dollars aujourd'hui. Plus de 800 millions de Chinois sont sorties complètement de la pauvreté. Dans la lutte contre l'épidémie, la Chine a toujours donné la priorité absolue au peuple et à la vie et a tout fait pour défendre le droit à la vie et à la santé du peuple. Au Xinjiang, la Chine a combattu fermement le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme religieux pour promouvoir le développement de Xinjiang, l'unité ethnique et la stabilité sociale. À Hongkong, la Chine a lutté contre les crimes et les activités commis par une minorité des gens contre la sécurité nationale conformément aux lois et par cela, garantit la sécurité, les droits et les libertés dont jouissent la plupart des résidents à Hongkong selon les lois, ainsi que la prospérité et la stabilité de Hongkong. La Chine a déjà ratifié ou a adhéré à 26 instruments internationaux sur les droits de l'homme. Devant la vérité, toute tentative des politiciens américains pour calomnier la Chine en ce qui concerne les droits de l'homme par les rumeurs sera vouée à l'échec.
Le peuple chinois connaît déjà la prétendue "conscience" affichée par des politiciens comme Mike Pompeo : au nom "des droits de l'homme", ils s'ingèrent grossièrement dans les affaires intérieures de la Chine et encerclent la Chine en imposant leur hégémonie. Le peuple chinois, toujours fidèle à ses propres principes, suit résolument son propre chemin et concentre toute sa force pour mener à bien ses tâches. C'est la meilleure riposte à ceux qui tentent d'entraver le développement de la Chine.
( Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)