Il n'existe "aucune preuve crédible" confirmant les accusations de recours à des armes chimiques dans le conflit en Syrie, a déclaré mercredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov.
"Les informations au sujet de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie doivent faire l'objet d'une enquête approfondie. Jusqu'à présent, il n'existe pas de preuves crédibles à cet égard", a écrit M. Gatilov dans un message sur son compte Twitter.
Mardi, un diplomate syrien a affirmé qu'une roquette portant une ogive chimique avait été lancée depuis une zone contrôlée par les rebelles dans la province d'Alep et qu'elle avait atteint un poste militaire dans la zone de Khan al-Assal, tuant au moins 21 civils et 10 soldats.
"Nous avons déjà mis en garde contre le danger que des armes chimiques ne tombent entre les mains des rebelles, ce qui amènerait la crise syrienne à un nouveau niveau de confrontation", a rappelé M. Gatilov.
Toujours mercredi, les autorités américaines ont également déclaré ne pas croire les accusations du gouvernement syrien selon lesquelles les rebelles auraient lancé une attaque chimique près d'Alep.
Il n'existe "aucune preuve crédible" confirmant les accusations de recours à des armes chimiques dans le conflit en Syrie, a déclaré mercredi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov.
"Les informations au sujet de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie doivent faire l'objet d'une enquête approfondie. Jusqu'à présent, il n'existe pas de preuves crédibles à cet égard", a écrit M. Gatilov dans un message sur son compte Twitter.
Mardi, un diplomate syrien a affirmé qu'une roquette portant une ogive chimique avait été lancée depuis une zone contrôlée par les rebelles dans la province d'Alep et qu'elle avait atteint un poste militaire dans la zone de Khan al-Assal, tuant au moins 21 civils et 10 soldats.
"Nous avons déjà mis en garde contre le danger que des armes chimiques ne tombent entre les mains des rebelles, ce qui amènerait la crise syrienne à un nouveau niveau de confrontation", a rappelé M. Gatilov.
Toujours mercredi, les autorités américaines ont également déclaré ne pas croire les accusations du gouvernement syrien selon lesquelles les rebelles auraient lancé une attaque chimique près d'Alep.