Dernière mise à jour à 15h44 le 29/11
Le ministère du Pétrole de l'Iran a dévoilé samedi un nouveau modèle de contrat pétrolier pour attirer les investissements étrangers dans le secteur pétrolier dans l'ère post-sanction.
Le modèle des contrat pétrolier nouvellement développé, surnommé l'Iran Petroleum contrat (IPC), est dans le but pour aider le pays à attirer des fonds auprès d'investisseurs asiatiques et européens, a annoncé le ministre iranien du Pétrole Bijan Namdar Zanganeh.
L'IPC est en train de remplacer les contrats traditionnels iraniens d'achat en retour (buy-back) qui ne sont plus attirants pour les entreprises étrangères.
Il espère que le nouveau modèle apportera 25 milliards USD d'investissements dans le secteur énergétique de l'Iran dans les prochaines années, a déclaré Zanganeh.
Sous l'IPC, la société du pétrole nationale de l'Iran (NIOC) va créer des entreprises associées pour la production de pétrole brut avec des entreprises internationales, qui seront payés avec une part de la production.
L'initiative est d'encourager l'investissement étranger dans le secteur énergétique de l'Iran si les sanctions pourraient être levées début 2016 à la suite de l'accord conclu entre l'Iran et les puissances du monde le 14 juillet.
En outre, des experts iraniens vont travailler avec des entreprises d'investissement étrangers pour se familiariser avec les dernières technologies dans le monde.
Plus tôt, Mehdi Hosseini, président du comité sur la restructuration des contrats pétroliers, a déclaré que "la propriété des réservoirs n'est pas ransférable" basé sur le nouveau modèle.
Les entreprises internationales se sont retirés de l'Iran lorsque les Etats-Unis et l'Union européenne ont imposé des sanctions sur les industries pétrolières et gazières de l'Iran au cours des dernières années, ce qui a provoqué une diminution significative dans la production et les exportation de pétrole et de gaz de l'Iran.