Dernière mise à jour à 10h43 le 19/09
Dans une résolution adoptée mercredi par 544 voix pour, 126 contre et 38 abstentions, les eurodéputés, réunis en session plénière à Strasbourg, ont réaffirmé leur soutien à l'accord de retrait déjà négocié avec le Royaume-Uni par l'Union européenne (UE).
"L'accord de retrait est juste, équilibré et offre une sécurité juridique", déclarent les eurodéputés dans une résolution votée à une très large majorité à l'issue d'un débat prioritaire en plénière à Strasbourg.
Le Royaume-Uni sera le seul responsable d'un départ sans accord, jugent-ils, tandis que les négociations sont toujours bloquées à six semaines de la date du Brexit fixée au 31 octobre.
Tout accord de retrait et tout futur accord d'association ou international avec le Royaume-Uni devront être approuvés par le Parlement européen.
Dans sa résolution, le Parlement européen estime que "l'accord préserve les droits et les choix de vie des citoyens européens et britanniques, offre un mécanisme de règlement financier des obligations du Royaume-Uni et répond à la demande du Royaume-Uni de bénéficier d'une période de transition".
Un Brexit sans accord "ne supprimerait pas les obligations et engagements du Royaume-Uni en matière de règlement financier, de protection des droits des citoyens et de respect de l'accord du Vendredi Saint, des prérequis nécessaires à l'approbation par le Parlement européen de toute future relation entre l'UE et le Royaume-Uni", rappelle d'autre part la résolution.
"Le risque" d'un no-deal "reste très réel", a déclaré mercredi matin lors du débat le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.
"Cela ne suffit pas de nous expliquer pourquoi il faudrait supprimer le backstop. Nous avons besoin de réponses juridictionnelles", a de son côté insisté le négociateur en chef de l'UE sur le Brexit Michel Barnier en rappelant que Londres et Bruxelles se sont mis d'accord sur ce mécanisme en novembre 2018.
"L'accord de retrait offre un mécanisme de filet de sécurité ("backstop") nécessaire pour préserver le statu quo en Irlande, en protégeant l'accord du Vendredi Saint et en assurant la coopération Nord-Sud ", ajoutent les eurodéputés.
Ils indiquent par ailleurs qu'une autre extension sous conditions du délai prévu à l'article 50 reste possible, si le Royaume-Uni en fait la demande "à condition qu'elle soit motivée et qu'elle ait un objectif précis, tel qu'éviter un retrait sans accord, organiser des élections générales ou un référendum".
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