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Le secrétaire général de l'ONU demande une réaction collective contre des crises de sécheresse plus fréquentes

( Xinhua )

18.06.2013 à 09h03

A l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse, célébrée le 17 juin, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a rappelé les coûts sociaux, politiques et économiques de la sécheresse, « manifestes de l'Ouzbékistan au Brésil, du Sahel à l'Australie ».

Avec pour cri de ralliement « Ne laissons pas la sécheresse nous ravir notre avenir », la Journée mondiale de lutte contre la désertification de cette année s'attache à mettre l'accent sur les risques que la sécheresse et la pénurie d'eau font peser sur la planète.

« En mai, la Namibie a déclaré l'alerte nationale à la sécheresse, car les 14% de sa population s'étaient retrouvés en situation d'insécurité alimentaire », dit M. Ban dans son message, alors qu'en 2012, les États-Unis ont vécu leur pire sécheresse depuis les années 50, 80% de leurs terres agricoles ayant été touchés. En 2011, la sécheresse qui a sévi dans la Corne de l'Afrique –la pire depuis le début des années 90– a fait près de 13 millions de sinistrés.

« Au cours des 25 dernières années, le monde est devenu plus exposé à la sécheresse, et les crises de sécheresse à répétition menacent d'être plus répandues, intenses et fréquentes du fait des changements climatiques », avertit le patron de l'ONU.

Les effets à long terme de la sécheresse prolongée sur les écosystèmes sont profonds, accélérant la dégradation des terres et la désertification. Les conséquences en sont notamment l'appauvrissement et le risque de conflits locaux autour des ressources en eau et des terres de production.

Les sécheresses sont difficiles à éviter, mais leurs effets peuvent être atténués, explique M. Ban, qui rappelle qu'elles respectent rarement les frontières nationales et exigent une réaction collective.

« Le prix de la préparation est minime par rapport au coût des secours en cas de catastrophe. Passons donc de la gestion des crises à la préparation aux sécheresses ainsi qu'au renforcement des capacités d'adaptation, en appliquant pleinement les textes issus de la Réunion de haut niveau sur les politiques de lutte contre la sécheresse tenue à Genève en mars dernier », affirme le secrétaire général.

En cette Journée mondiale de lutte contre la désertification, Ban Ki-moon engage la communauté internationale à répondre à l'appel lancé l'année dernière à la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) en vue d'éviter et d'atténuer la dégradation des terres.

« En préservant les terres arides, nous pouvons protéger les ressources en eau essentielles, assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et réduire l'extrême pauvreté », conclut le secrétaire général.

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