Dernière mise à jour à 14h37 le 28/08
La mairie de la capitale tchadienne mène, depuis mercredi, une vaste campagne de démoustication des dix arrondissements de la ville pour réduire le taux de prévalence du paludisme, qui y va crescendo.
Pendant deux mois, les techniciens de la commune vont pulvériser les mares, marigots, caniveaux et autres endroits de la capitale où se reproduisent les moustiques, principale source du paludisme.
En cette saison de pluies, les hôpitaux de district, les centres de santé et les cliniques privées de N'Djaména, ne désemplissent pas de patients souffrant de paludisme.
Les femmes enceintes et les enfants, surtout de moins de 5 ans, sont plus vulnérables.
En 2014, plus de 1,5 million cas de paludisme ont été notifiés dans les centres de santé, dont 900.000 environ confirmés pour 1.700 décès, selon des données du Programme national de lutte contre le paludisme.
De janvier à juin, 484.000 cas ont été certifiés dont 15% chez des enfants âgés de 0 à 11 mois et 29% de 1 à 4 ans.
Outre la démoustication, le gouvernement tchadien mise également sur la sensibilisation et la distribution des moustiquaires imprégnées de longue durée pour réduire la prévalence du paludisme.
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