Dernière mise à jour à 08h40 le 17/05
Le président ougandais Yoweri Museveni a mis en garde les agences de sécurité du pays contre le recours à la torture pour obtenir des informations des présumés criminels.
M. Museveni a déclaré dans un communiqué publié mardi que le recours à la torture pour obtenir des confessions est "inutile, mauvais et ne doit plus être utilisé", et peut même interférer dans la lutte contre le crime.
Les médias locaux ont rapporté qu'un suspect a été horriblement torturé par la police.
Le suspect, le maire d'un conseil local de l'ouest de l'Ouganda, est accusé d'avoir fait partie de la bande qui a tué Andrew Kaweesi, ancien porte-parole de la police et son chauffeur et garde du corps, en mars dernier.
Les images de blessures de l'officiel local torturé ont provoqué la colère de l'opinion publique. D'après la police, les policiers impliqués dans la torture du suspect ont été arrêtés.
"Notre mécontentement face à ces criminels ne devrait pas nous faire choisir des mauvais raccourcis. Nous devrions les avoir en employant des moyens patients, mais pas par le biais de la torture, car l'obtention de preuves par la torture n'est pas fiable", a-t-il déclaré.
La torture est interdite par la constitution du pays et tout officier de la sécurité reconnu coupable de cet acte est condamné par la loi.
Le chinois BYD implante sa première usine de bus électriques en Europe
Liaoning : un emplacement stratégique pour la nouvelle ZLE
Le système de vélos en libre-service chinois part à la conquête des États-Unis
Doublement des vols Chine-France d'ici 2020
Immobilier : sept arrestations dans la Nouvelle Zone de Xiongan
Renforcement du développement de la Nouvelle Zone de Xiongan
Mise en service du deuxième plus grand terminal de l'aéroport au Tibet
Construction de 74 nouveaux aéroports en Chine d'ici 2020