Grumpy Cat serait plus riche que certaines stars d’Hollywood

( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )

10.12.2014 08h42

Le félin à la mine bougonne qui est devenu une sensation sur Internet a amassé une immense fortune en faveur de sa propriétaire américaine. Les gains de la chatte, âgée de deux ans, dépasseraient en effet ceux de nombre de stars de cinéma et de grands footballeurs, avec près de 100 millions de Dollars US.

Avec son regard semblant empli d'une implacable malveillance, Grumpy Cat n'est pas exactement ce qu'on pourrait qualifier de mignon. Mais sa façon de vous fixer d'une manière perçante et son air de mépris fatigué se sont révélés étonnamment lucratifs pour sa propriétaire, Tabatha Bundesen, de Morristown, en Arizona. Depuis sa naissance, le matou le plus célèbre du monde -dont le vrai nom est Tardar Sauce- a engrangé une véritable fortune avec toute une gamme de produits, y compris des livres à succès et un film. Ainsi qu'elle l'a confié : « Ce qu'elle a fait en si peu de temps est inimaginable et absolument époustouflant. J'ai pu quitter mon emploi de serveuse dans les jours qui ont suivi sa première apparition sur les médias sociaux et le téléphone n'a tout simplement pas cessé de sonner depuis ».

Les gains du félin grincheux ont éclipsé ceux de nombre de grands noms d'Hollywood comme Gwyneth Paltrow, Leonardo DiCaprio, Scarlett Johansson ou encore Nicole Kidman et Cameron Diaz… et même les meilleurs footballeurs du monde, y compris Christiano Ronaldo, dont la rémunération totale cette année est estimée à un peu plus de 42 millions de Dollars US.

La grimace permanente de Grumpy Cat est due au fait qu'elle est née atteinte de nanisme et d'une malformation au niveau de la mâchoire. Elle est devenue une superstar de l'Internet après que le frère de Mme Bundesen en ait posté une photo en ligne. Son froncement de sourcils s'est avéré irrésistible sur les médias sociaux avec 521 000 followers sur Instagram et 255 000 sur Twitter et, l'année dernière, elle est même apparue sur les premières pages du Wall Street Journal et du New York Magazine.