Dernière mise à jour à 15h13 le 05/12

Page d'accueil>>Culture

A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

le Quotidien du Peuple en ligne | 05.12.2018 15h05
  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    1/7Han Xiaoli présente un couvre-chef qu'il a fabriqué. (Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    2/7Han Xiaoli crée divers couvre-chefs pour différentes histoires et personnages de l'Opéra Qinqiang. (Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    3/7Han Xiaoli crée divers couvre-chefs pour différentes histoires et personnages de l'Opéra Qinqiang. (Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    4/7Han Xiaoli présente un couvre-chef qu'il a fabriqué. (Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    5/7Han Xiaoli essaye un couvre-chef qu'il a fabriqué.(Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    6/7Han a besoin d'au moins trois jours pour finir un couvre-chef fabriqué à la main. (Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

  • A la découverte de la fabrication des chapeaux traditionnels de l'Opéra du Shaanxi

    7/7Han Xiaoli peut fabriquer plus de 100 types de couvre-chef pour l'Opéra Qinqiang.(Photo Huo Yan / chinadaily.com.cn)

Han Xiaoli, un artisan âgé de 55 ans de Xi'an, capitale de la province du Shaanxi (nord-ouest de la Chine), peut confectionner plus de 100 types de couvre-chefs pour un opéra local.

Ce couvre-chef unique joue un rôle important dans les représentations de l'Opéra Qinqiang, un opéra folklorique typique du Shaanxi qui exige des artistes de chanter à haute voix.

Han a appris les techniques de fabrication de son père à l'âge de 15 ans et depuis lors, il a consacré sa vie à ce patrimoine culturel immatériel.

"En raison de la complexité du processus de production et du peu d'argent que cela rapporte, de moins en moins de jeunes souhaitent acquérir les compétences traditionnelles", a-t-il déclaré. " J'espère que cela attirera davantage l'attention du gouvernement et du public, et que l'on pourra transmettre cette tradition de génération en génération."

(Rédacteurs :实习生2, Yishuang Liu)
Partagez cet article sur :
  • Votre pseudo
  •     

Conseils de la rédaction :